cynike

Les choses de mains

Vendredi 11 janvier 2008 à 12:57

A voir, Absolument
A tout prix?
Sans prix.
A comprendre.
Y'être ouvert.
Beau.
Triste?
Surtout beau.
Musique extraordinaire.
Evite le piège du pathos.


Je veux repartir a Séverac le Chateau....

Samedi 5 janvier 2008 à 23:59

Plutot que de dire T'as pas cent balle
Chose qu'on ne dit plus
Ou en parlant d'avant.
Bref t'as pas un lampadaire?
Une danseuse de Marley sur un Charleston d'étoile
Mon frére et moi
Moi et mon frère
Pour faire raler
La suite
A la suite
A la chaine
Au bout du rouleau
T'as pas des moules
Et puis des frites
Enfin
Je veux pas abuser hein!

Vendredi 4 janvier 2008 à 11:10

C'est drôle la début d'année.
Premièrement Bonne année, la phrase a dire quand on rencontre un amis qu'on a pas vus depuis le 30 ou 31 si il était pas là le soir
et ensuite plus rien. au bout de quelque jours la vie reprend son cour.
Il y'a en même temps le soucis de commencer quelque-chose, et l'envie d'améliorer ce que l'on faisait déjà.
La foi en l'avenir, et bientot la nostalgie délicate d'un passé proche.
Qui il n'y a pas si longtemps faisait un peu plus partis du présent.
Il n'en reste que des traces des souvenirs des dechets des denrés
(il me reste encore un bon 500 gramme de sauce bolognaise, du repas de nouvel an)
Bref même si il n'y pas vraiment de chose nouvel
Marquer le coup c'est important
Et puis le nouveau est a faire
Ainsi donc
on le sait
c'est
important.

Vendredi 30 novembre 2007 à 23:45

Le monde
Dieu
Tout
Surtout toi
Mon patriotisme débile
Aux femmes
Et donc
La conscience cette salope
Aux impayé
Pour mes nuit Blanches
Pour les pretextes
A l'amour
La luna
Aux chourmo
Mon spectacle débiles
Les faute de frappes
D'orthographe
Les souvenirs
Mes mensonges
Le vide
Le silence
Les larmes versé par d'autres
La poésie
Que j'ai tant de fois insulté par m'a prétendus plume
Mes pretextes
Ces  fois ou j'aurais du me vomr
Les pleurs en rage
La tendresse
La confiance
La parole donné
Les plaies ouvertes
Ma gueules ouvert a ne rien dire
La parole facile
La connerie en étendart stupide


Pour tout, je demand ce que je ne peut obtenir, car je ne le mérite pas
Pardon

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:42

Le disfonctionnement, le voila, lui absolus qui s'impose.
L'étrange et calculatrice sécurité qui cocoonise peut à peut les êtres dans leur sureté ignorante, tente de le stopper.
Eviter à tout pris un quelconque disfonctionnement du systéme en entier. Ainsi les rouages ont été surproduit, chacun y est inscrit, relié à la machinerie, et si quelque rouage ou avance dans le sens inverse, le système s'en passe et peut se permettre de l'ignorer. Ca n'a rien a voir avec la réprimande, ignorer c'est ne pas tenir compte, la voila la véritable violence.
    L'ignorance comme véritable violence car, même si des élèments multiples croit pourvoir l'attaquer la contre-carrer, elle n'est pas condamnable. Les Ignorants, les vrais, sont ignorant de leur ignorance, et même certains s'en targuent.
Peut-être plus à remettre en cause sont ceux qui du haut de leur connaissance semble ne pas l'être. Ceux là sont coupable d'ignorer les ignorants et ainsi malgrés leurs connaissances et la raison qui prétendait les porter, cette raison même finira par raisonner dans le vide d'amphithéâtre ou ils seront ignoré à leur tour. Leur position qu'ils croyaient acquise est en fait la plus menacée.

       Mais je n'étais pas venus vous parler de ça,en vérité je n'étais pas venus pour parler mais bien pour écrire. Ecrire ce qui ne passe pas. Dans cet état de faiblesse et de fatigue résultant des affres du temps qui fait écrire des textes comme on peut en voir plus haut, ou d'autres moins..(haut). Cette fatigue, alors que ma venus était mus par la volonté d'action dans l'espace publique, a fait opérer à mon esprit un mouvment de replis, retractant mes membres et me faisant me terrer dans un coin, les yeux baissé regardant le sol comme on peut vider sa tête dans les étoiles. Puis cette feuille refletant l'infinie possibilité dans l'univers.
C'est Novembre et le coeur n'y est pas complétement. De considération en tergiversation, je chamboule la suite de mes
idées. J'ai des choix, en entre-deux j'ai rejeté les sommets, tapis sur la plus haute marche d'un hall dépravé.
    "Les coups s'assénent dans ma boîte cranienne", J'ai tout risqué et dans ma substansifique moelle, rien ne résonne. Quel înteret y'a-t-il ici bas pour un homme qui ne sait que contempler les mondes de son contemporanisme. Cicéron ne saurait me blamer. Je me suis engagé, pour la vie, et ce n'est par peur que j'esquive certaines chose a présent, c'est que rien ne m'y attache. J'en ai vus la fin, j'y fonce, je connais la tragédie des peuples. A 18 ans trouver une retraite voilà pour mon contentement. Dieu sait que je ne le serai pas. Soldat pour la justice, Défenseur pour la vie, et pour autant Inconnu dans la ville.
   
    Je n'ai rien à donner au monde que l'amour du désir et la force de mon corps fétiche. Un rien me fait sourire, frémir, rager et pleurer. Sensible à l'excés, J'en suis déjà mort. Puis-je me dire artiste? Poétes?... Je crois et pour autant dans les instant ou je crois pouvoir le dire, il n'y a rien qui ne le trahisse que l'attitude d'un feigneant, l'attitude celle-ci m'aura au moins permis de grimper au plus hautes altitudes dans l'humain.
    Je suis Celui qui ne produit qu'oeuvre dont le cerveau pilles les doutes et les sureté. Celui qui assit ne regarde bientôt plus que passer les petits pieds au pas pressé des passant. Voulant se tenir pour l'éternité dans un cadre de lumière appelant à la grâce dans les sombres années, ce qui est fort peut aisé je vous le concéde.
Dans ce qui temps tout mon âme à plonger dans l'inaction, je crois qu'il y'a une force, qui ne me permet pas de profiter de cet apathi éternelement. Je me sens malgrés tout poussé par cette force de ne rien faire...
Ca ne veu rien dire...
     Bien que si l'on y regarde de plus prés, tout est pourtant là, dans cette rétractation mortifaire. Tout.
Car il n'y a rien, non il ne restera rien.

Lundi 19 novembre 2007 à 20:37

« Je ne pensais même pas les effleurer

Merveilleux pour eux je suis dangereux »

IAM

 

 

                        Réaction a chaud de l'évacuation d'un étudiant d'une occupation d'amphi.

 

 

Passé la matinée à tracté dans les différents lieu de nos université florissante d'endormissement, puis une après midi entière à réfléchir, penser, proposer, dans un amphi fermé à la lumière du jour. S'engager, pensé et suggérer après réflexion et concertation… j'aurai pus me crois dans une université… je veut dire un lieu de la pensé, de l'intelligence réel et non récité.

On aurait dit..

Et voilà que beaucoup apprécient l'idée. Pourtant l'assumer est une chose différente. Combien reste, annulent leur soirée, et se font les gardiens d'un lieu pris de force peut-être, je vous parle de la force des mots, la capacité oratoire, oui pris par cette balle tiré sur l'ignorance servile. Combien donc ? très peu si peu apparemment trop peut. Belle parole se résume a belle tentative et en somme elle n'est pas glorieuse. Après l'espoir, l'échange… l'illusion peut-être. Fin du chapitre.

Quand on voit la proportion d'acceptation et de tolérance, face aux actes étudiant désespéré afin d'ouvrir un débats d'idée. Il ne fait aucun doute de la bonne volonté des directeurs et des investisseur ( de mèche avouons le nous, si, si) En ce qui concerne l'ouverture d'esprits et l'intérêt qui est porté au sciences humaine, art et lettres…. Bien sur de notre légitimité, il nous a été bien signifié que L'Etat (qu'il, d'après certaine théorie, qu'il serait peut-être temps de remettre au goût du jour, peut perdre quand il se vend au plus offrant) estimait qu'elle n'était pas prise en ligne de compte.

A présent aux mous, castrateurs du mouvement, nécessaire et irréfutablement emplis de cette aura fédérateur qu'il se doit de générer, Je vous condamne par le jury de l'éthique et de mon expérience, d'être Complice de meurtre de la conscience, dont le bras armés fut celui des matraques menaçantes au service du néo-libéralisme barbare dont les borgborimes économique par le rugissement qu'ils font ont étouffé les cries sourd et murmuré, du fond des académies, des tête pensante de l'humanité.

De quoi peut-on bien se venter en France ? Ne nous restera-t-il que le vin dans quelques années dont on puisse être fier ? Bien que le vignoble soit riche en Alsace, il me semble que ce serait bien pauvre.

Que plus personne ne vienne me parler de légitimité d'AG ou quoi que ce soi car pour moi trique et boucliers uniforme et connerie n'ont rien a faire dans un lieu prétendument liée à la connaissance.

Alors quoi ? Se débarrasser une fois pour toute de ceux que qui prétendent aujourd'hui diriger à juste titre nos université nos Service publique et qui ont donné leur parole et leur honneur contre un chèque bien peser et peut-être pour le chiffre bien pensé ? Le choix toute homme l'a et personne ne peut en affirmer le contraire ou alors nous sommes esclaves.

J'accuse l'ignorance, et l'apathie maladive, de mes pairs, la trahison et trop énorme.

 J'appel au meurtre au viol à la haine… C'est ce que vous voudriez n'est-ce pas ? eh bien non,

La réponse quand la stupidité a pris le dessus sur la raison dont se targue les héritiers des lumière je ne l'ai pas. Mais j'affirme être animé par le droit des justes

Faudra-t-il attendre que l'écriture nous soit interdite pour qu'a nouveau l'on reconnaisse son importance.

Les artiste Rap en font déjà les frais. Mais quand ça ne touchait que le dernier mouvement littéraire réel et donc ignoré qui existait ça ne dérangeait pas. Maintenant le revers de la médaille en toc nous frappe, et, bien que l'adage chrétien implique de tendre la joue gauche, ce n'est pas à mon corps que l'on a touché ici mais à mon âme et ma condition d'être. Je me dresse donc, envers et contre tous ceux qui aujourd'hui ont officiellement choisi leur camp.

 

A bon entendeur, condoléances…

 

 

« Vos loi sont immoral

Ma délinquance a des principes. »

 

Kenny Arkana

 

Mercredi 31 octobre 2007 à 16:26

Il N'y a plus rien a prendre.

Jeté par dessus l'entité d'expérience. Le dénuement corrosif, total, comme seul dénouement ?

Frapper dans les cordes de l'arc de cupidon, à coup de ciseaux. Viser juste, trop juste peut-être pour que ce soit tout à fait honnête. Et pourtant, autant pour voir en voilà bien pour moi assez à dire. Faire fit de nos fondements, pilier de pattes a modelé, bâtiments en pattes de sel. Effondré, le grand crash. Ainsi que cela soit fait. Pour le pire, celui-là même qui seul vous a anéantis. Et même, se faire ennemis de soi. Car ainsi le paysage défait de tous, il ne reste plus rien. Se défaire de ce que le temps et la vie vous ont greffé. Mis au monde, le tourbillon nous emporte, sans pitié, ni sagesse. Incapable de comprendre et d'attester ce qui passe sur notre corps. Je ne parle pas du temps.

Qu' y avait-il au départ ? Comment le savoir si ce n'est par le passage en ce lieu, cet en soi ou, à bien regarder, il n'y avait rien au départ. Alors voulus ou non voulus explorer ce moment ou il n'y aura rien pour nous voir en vie.

Rien, qu'une chose peut-être

Au fond de soi, dans le vide du silence de la pensée. Quand plus rien ne remue apparemment, quand le creux de notre ventre a cessé de remuer, alors faire attention car quelque-chose bouge que l'on avait naturellement oublié, quelque-chose qui existait, et on le savait, mais pour autant on ne lui prêtait plus attention. Ça se lève nous soulève pour retomber. Encore et encore, et sitôt qu'on en a pris conscience et que ça aussi on veut, par sa simple volonté de penser, le stopper et bien on en voit toutes l'impossibilité. On peut tenter, mais ralentir, ou entre coupé, ça ne peut cesser, ça reprend le dessus inexorablement. On respire. Remplis vidé, Gonfle et désenfle. Et puis suit directement cette autre mouvement répétitif, 1,2 ..1,2  tambourin binaire, pompes à retardement, sans rythmique que celle du sang, de toute l'alchimie des efforts de votre corps et, dans l'inaction, le seul rythme de votre respiration. En vous et quelque part sans vous si vous le laissez couler. Prendre en conscience, cette seul et unique force, continue, inconditionnel. Jusqu'à la fin, après tout, ce sera là, présent.

Alors il est permis de voir de revoir et d'intégrer, ce qu'il nous prend de nous greffer, avec dans la tête le rythme changeant alternatif de notre base, unique et universel. Pris par la conscience et non plus mis, mais inclus au monde.

Dimanche 28 octobre 2007 à 13:37

Dans les ténébres
 J'ai contre plongé
 J'ai du mal viser
ou bien mal cadrer
J'ai pourtant le bonheur dans l'objectif
J'ai brulé tous les négatifs.

Malgrés les mises au points ... Je suis flou.

Le temps des rêves
 Est passé comme un bolide
 Dans l'instantané d'un polaroïd
 J'ai l'impression d'une vie de cliché
Mettant mon coeur surexposé.

Malgrés les mises au points, je suis flou...

 Pauline Croze.


Faire le ménage chez soit comme dans sa tête, ou l'inverse. Et pouvoir peut-être y voir claire.
Prendre une décision, s'y tenir, moins facile que ce qu'il n'y parais
Mais il faut peut-être mieux ça, Quand on n'a pas la raison commune pour soi.

Lundi 22 octobre 2007 à 7:53

Dirty tree voili ma mégalomanie espiégle vas pouvoir revenir mentir de toutes vos vérité a nouveaux dans mon lieu de vie car ça y est je suis internetement opé'. Prés a interné mes envies d'écriture sur la toile afin quelles y déambulent, sa va chémar !!!!

Vendredi 14 septembre 2007 à 12:49

Quand ça vous prend comme ça un jour on se demande pourquoi. Alors quoi se laisser abattre? Dur de voir le monde... Impressionante solitude du déplacement visuel anodin cela se rapproche de l'obcéssion maladive de détail insuportable qui tour a tour révolte et abatte. La ville vous meurt, ses griffes embrumé de trop longues soirés îvres. Déambulation skyzophrénique et prise d'otages de vos sens. Surtout la déambulation. De pire en pire. Ne plus savoir apprécié la bonne compagnie. Quand ça dépasse votre univers vous transplantant dans un Etat second de l'empire de votre pensée.
Diapason sans raison vous donnant un seul son la tristesse d'un mur Blanc ou on aurait rien à Ecrire dessiner chanter. 

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