cynike

Les choses de mains

Lundi 22 octobre 2007 à 7:53

Dirty tree voili ma mégalomanie espiégle vas pouvoir revenir mentir de toutes vos vérité a nouveaux dans mon lieu de vie car ça y est je suis internetement opé'. Prés a interné mes envies d'écriture sur la toile afin quelles y déambulent, sa va chémar !!!!

Par Gils le Dimanche 28 octobre 2007 à 1:02
Plein de trucs on décidé de remonter à la surface ce soir, et putain ça fait du bien. Je sais pas pourquoi j'écris ça ici, mais alors vraiment pas. Je viens marquer l'apparition de ton visiteur hebdomadaire, en disant plein de choses qui n'auraient pas lieu d'être en tant que commentaire de "blog". Je sais pas c'est p't-être cette ambiance de comptoir avec Picon ET fumée qui règne ici. Ou cette couleur orange (cherche pas).
Ouais, ouais...On arrête pas de refaire le monde ces derniers temps, et ça sent le dégel. Alors, "garchon", la rage est intacte et j'ai à nouveau ce putain de besoin d'écrire, à force de lire. Besoin d'écrire, besoin d'écrire - ou de gueuler, après tout, c'est de la rage, de celle qui casse les murs et insulte vainement les océans (oui l'image précédente c'est juste de la putain de dérision).
Ouais, besoin d'écrire, besoin de gueuler. Alors je vais prendre soin, le plus méticuleusement du monde, de ne pas perdre un seul emplacement de caractère grâcieusement offert par cowblog, pour dire ce qui doit sortir, en gros -ce qui, à la fin va donner une putain de tartine. Gueulons tant qu'on le peut, occupons tout l'espace disponible...
Besoin de gueuler, d'écrire. Ecrire pourquoi? Vivre ça suffit plus, je veux retrouver la joie, la vraie joie, parce que quelques heures de franche joie et de folie par mois, voire par an, ça ne suffit pas.
Besoin d'écrire. Ecrire quoi? Des conneries sûrement. Des conneries, finalement, on sait ce que tout le monde pense de la jeunesse, des conneries. Quelques conneries qui ressemblent à ce qui suit.

Octobre est ce mois de merde qui doit s'achever - mais ce n'est qu'un putain de mois.
Et la fin, c'est pour bientôt.
Quelle fin?
...

C'est tout, voilà, j'ai fait une tartine pour dire ce qui est dit en deux lignes. A ce qu'il paraît, c'est très français, ça.

"La rage au ventre la joie aux yeux". Merci, Fran(-gin)çois.

A plus, garchon!
 

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