cynike

Les choses de mains

Jeudi 26 avril 2007 à 16:30

De la lecture l'envie de lire. Dévorer les mots qui me dévorent l'âme. A chaques mots, chaques fin de phrases, chaques fin de paragraphes, un nouvel anéantissement de l'âme, de ce qui touche à soi, ce qui n'est pas pour nous. Sensations si familliére que l'on a quitté et dont on se demande comment on a pus s'en passer. Voir déclencher par le sens enfoui une infinité de sensations qui n'en sont pas vraiment.
Devoir s'arreter car ennivré de tants de traits sémantiques. Comme si la lecture apportait dès la première fois un nombre de sens incalculable à chaque propositions de l'auteur. Une sorte de clairvoyance pure de ce qui est lu, sans pour autant en décrocher les mots qui l'explique vraiment. Voir l'effet de la phrase sur soit s'y perdre et en apprendre au final bien plus qu'on ne peut vraiment savoir.

Merci...

Lundi 23 avril 2007 à 21:20

Voila  un texte écrit presque  a chaud en tout cas nullement retravaillé depuis l'écriture comme le veux le principe du Recueil des Nuits Blanche et autres Nuits .  C'est pas glorieux mais c'est sincére!

C'était Paris sous les bombes. Je te parle de cette instant calme ou l'on se prépare avant la tempête. J'exerce dans l'ombre de ma chambre les expressions de mon appétit, proche de la rage. J'ai une envie de mordre. S'engager violemment, s'engager jusqu'au sang. Le fascisme s'installe tranquillement on lui a laisser le temps mais en dessous sous les gouttière attention la rumeur gronde. Finis de s'apitoyer. Faut voir dehors la fumée de l'herbe qui brûle dans les flammes des endormis. Se réveiller du cauchemar ? la foule acclame la fausseté s'est laissé mettre des peinture de guerre sur les yeux pour ne pas voir ce qui réellement est à abattre. L'engrenage s'est rodé les média au services de la maniacomanie répressive d'un Etat ou la démocratie à laisser la part belle au aristo des fausse vérité du parler vrai. Déshonoré dans sa chair et son sang Marianne s'est tiré une balle. Et pourtant c'était bien essayer l'idée y était certainement mais comme toujours détourné l'information a balayer l'espérance pour rendre l'écho de ce que vomi le mégaphone de la finance lobby de nos hautes instances. Comment ne pas croire comment pouvoir comprendre qu'il ne fallait rien écouter. Que pour ce faire une idée il suffisait de bien se rendre compte qu'il n'y en avait pas de nouvel que rien ne devait changer. Pourtant à défaut de réussir a influer sur notre futur économique incapable d'avouer leur impuissance face aux roi de la finance il fallait bien justifier leur présence comment ? Car leur peur est légitime, imaginé que l'on puisse s'apercevoir qu'il ne peuvent rien pour nous que tous ce qu'il sont encore capable de faire et de tenir la barre a peu prés droite pour ne pas qu'on meurt, mais pas assez haute pour que l'on vive en être humain. La barre pour surnagé mais pas pour avancer. Seulement voilà il faut bien cela pour qu'il puissent conserver leur places et privilèges. Les siéges sont confortable le quitté serait dommage. Alors comment tenir la population à cela ? A cette vie médiocre comment lui faire accepter l'idée qu'il régresse ? Informons le !

Bien sur il oubliera sur quoi il est censé avoir des opinions ou on lui aura tellement taper le cerveau de phrase bien pensée qu'il oubliera de s'en forger une.
Mais pourtant tout n'est pas si facile, tout ne tient qu'a un fil. Il n'y a qu'un pas d'ici à la vérité, tout à chacun est capable de le faire si non de dieu il n'y avait, leur petit drapeau, et leur petit fanion, trônant sur la facétie de mauvais goût. Assurer la stabilité du pays tenter de lui faire peur pour pouvoir le contrôler, qu'il se laisse faire. Seulement certains ne sont pas dupe mais qu'il s'exprime lorsque le mal sera là et on les traitera de fanatique. Il s'agira de sang sur les murs, que les coupables paye chacun leur tour.  Mais qui sont les coupables ? Le libéralisme à réussi à crée un pouvoir dictatorial et anonyme. La société. Mais il y'a complicité. Et la peur prend le partis de la déférence pour sauvegarder une paix horrible, mais qui reste une paix, une paix qui a étouffé toute possibilités d'action. Un paix qui l'a enchaînée. Car la législation plus qu'un outil de libertés dans la paix, enchaîne maintenant pour assurer sa propre libertés à elle et non pas celle de la communauté. La libertés étant un facteur trop grand de risque pour la paix car elle permet l'action, il semble que la solution choisit est celle de supprimé la libertés pour sauvegardé : La société.

Pourtant ce processus n'est pas encore aboutit, et il ne pourra jamais être totalement à l'abris de ce qui définis un humain. Cette capacité d'agir et de brisé ces chaînes par un Actes qui dans ces moment là remet la paix en question pour Mériter est atteindre la liberté.
Le Mérite de l'insurgé c'est qu'il vas jusqu'à oubliée sa recherche de la vie Paisible Pour atteindre sa libertés même si pour cela il doit la trouver dans une mort. L'insurgés est celui qui ce lève se dresse lorsqu'on touche à sa libertés à ce qui le constitue en être humain. Celui qui ouvre les yeux pour ne pas les refermer celui qui ne cède pas à la peur de perdre le matériel et qui fait passer avant tout sa qualité d'humains et le respect qu'il se doit à lui même. Celui qui ose se rebeller pour se mettre face aux système jusqu'à menacer la paix de celui-ci, jusqu'à se voir peut-être seul mais pourtant capable d'oublier son espace privée pour Agir dans un Espace publique seul endroit ou il a ce statut d'humain. Un Espace publique gangrené mais dans lequel malgré tout il se doit d'agir.

Lundi 16 avril 2007 à 12:01

Il y a cette fenêtre pour lui rapeler qu'il fait beau dehors. Il voit le coin de ciel bleu et un arbre en fleur dans la cour. Le seul arbre de cette cour. Il voit tous ça et en profite parceque aprés tout c'est pas tous les jours comme ça. Un petit coin de ciel bleu ça peut paraitre bête, mais pour lui c'est de la magie. Tout coule dehors et ce spectacle envers et contre tout s'offre à lui.
Alors contre son mur il grave avant de ne plus pouvoir  le faire ce petit message pour lui pour le prochain à passer ici pourquoi pas aprés tout. " le ciel est bleu à travers la fenêtre"  Il ne pense à rien d'autre qu'à ce ciel un sourire de la part de l'éternité. Ses yeux se mouillent un peu, il séche ces larmes et reste assis un moment. 
" C'est l'heure"
Un dernier regard au dehors, il sourit.


A travers la fenêtre le ciel est bleu on peux même distinguer le bruit de quelques oiseaux qui chantent. Le cris d'un homme, un cliqueti sinistre. Un bruit sourd, deux oiseaux qui s'envole, et le bruit matte d'un corp qui retombe par terre. Le ciel reste bleu, le sol se teint de rouge.

Lundi 9 avril 2007 à 13:21

J'ai peur.

 

Hier encore une section Littéraire a disparu. Ici dans cette ville de Colmar, cette ville qui m'a ouvert encore plus au théâtre à la musique à la peinture, à la littérature, au grec, à l'histoire. Ici ou j'ai appris ce qui me sert à parler à m'exprimer, à apprendre à comprendre. Ici une section L à disparus… On pourrait croire que ce n'est rien, ou pour d'autre que c'est révoltant, qu'on ne peut pas laisser faire ! mais… c'est déjà fait, ça se fait petite à petit sans que les premiers concerné ne se sente concerner. Il en reste deux dans la ville. Je parle de lycée ou des sections L existe, oui, encore deux… on pourrait faire avec non ?... Faire avec oui comme  on nous apprend à faire. Faire avec la vie faire sans s'en faire quand on en aurait pas mal à en faire. On en à fait, des verte et des pas murs on s'est fait ficher on a ouvert notre gueule… un peut trop fort ? et maintenant je devrais me taire ? eh bien non voilà, je suis dans une section ou on voit des gens parler, réfléchir, écrire, donner des moyens de penser, pour comprendre ce qui arrive autour de nous, qui nous donne les moyens de l'exprimer pour que ceux qui s'occupe de Mathématiques de Physiques, de Sciences naturel, de l'économie et de ses statistiques puisse aussi nous parler et ainsi avoir l'assemblage de connaissance nécessaire pour construire une société, en assurer l'avenir, un assemblage qui me semble parfait une balance de connaissance qui me paraît équilibré. Les L par défaut existent pourquoi ? parce que la première chose qu'on sait nous dire à la fin d'un conseil de classe est  : tu a le niveau pour aller en S. ou tu as le profil S, mais aussi l'inverse, et non pas me demander quel sont mes centre d'intérêt pour les matières que l'éducation national est capable de me proposer. Tout élève est un pari, on mise dessus, l'Etat paye pour chaque élève, mais ne souhaite apparemment pas prendre de risque. Aujourd'hui un investissement ce fait sur la formation d'un bon commercial on mise tout dessus, même les L avec leur formation on doit les sauver en les envoyant dans cette direction. Mais quand on aura plus besoin de commercial ? Quand le temps sera venus enfin d'expliquer au peuple qu'il doit réfléchir à ce que deviendra la nation, qui sera là pour parler de ça ? qui pourra expliquer à son voisin ? qui pourra le dire aux enfants, aux adolescents, qui prendra le risque d'en parler dans la rue sans que ça tourne à la mauvaise conversation de bistrot. Quand on s'apercevra que les chiffres seul ne permettent pas de comprendre une population. Quand on voudra que de nouveau quelqu'un nous racontes une histoire qui avait un sens. Qui sera là ? Qui pourra nous dire que ; non, tout n'est pas à faire, qu'il existe déjà une connaissance culturel capable d'apprendre à tous et que la littérature, pas ces conneries que les mauvais auteurs nous écrive par goût du luxe aujourd'hui, mais ces texte formateurs au milles et une raisons d'exister, au milles et une origine et problématiques, on été écrit pour tout un chacun. Quand on fera brûler les livres par besoin de charbon, qui sera là pour expliquer que c'est un meurtre de la conscience que nous faisons.

Il faut arrêter de dire que la L n'a aucun débouché, ou sinon celui de professeur. Il faut que les conseillère d'orientation plutôt que de céder à la facilité en envoyant tout le monde en S ou en ES section qui par ailleurs sont tout autant nécessaire que la L et la STG et les sections technologique et tous ce qui existe encore, se remette au travail et se rendent compte que les métiers de la culture ont de véritable débouché. Les Théâtres ont besoins de gens cultivé pour gérer leur budget tout en restant des lieux d'art. Avec les institutions Européenne les langues on une importance capital mais aussi la culture du pays qui va avec. Comprendre qu'une population ne s'explique pas par sont système économique. Que la communication n'est pas uniquement un moyens de vente mais aussi le premiers facteur de la cohésion humaine.

Alors que nous atteignons le degrés zéro de la progression dans notre évolution culturel. A l'heure ou plus que jamais l'art, la Littérature à besoin de trouver un nouveau souffle pour sortir de l'élitisme culturel centralisé. Alors que nous sommes en plein dans ce besoin de réaffirmer l'art pour ne pas sombrer dans l'ignorance pur et simple, A cette heure là je vois et

 j'ai peur.

 L'impression d'être une grenouille dans une casserole avec l'eau qui chauffe petit à petit en dessous.

« Faut vous dire Monsieur que chez ces gens là, on ne cause pas monsieur, on ne cause pas. On compte. »

Finalement plutôt que de brûler les livre il est plus facile de ne pas les faire lires…

 

 

Un lycéen en section L.

Lundi 9 avril 2007 à 1:34

Au détour d'une conversation stérile Benoît mon frangin et ben ce qu'on il a dit un truc qui à mon avis serai un bon slogan pour le vote blanc...

" L'insécurité l'insécurité: Je veux des idées moi pas des problèmes"

Bref petite phrase a mediter je pense...

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