cynike

Les choses de mains

Mercredi 26 mars 2008 à 23:57

Mais je l'aurais pas cru...
A force de parler sur le monde tout seul, j'en vient a plus savoir quoi penser de moi.
Alors je prend exemple.
Et j'en parle.
Ça donne du grain a moudre aux grandes gueules...
















                                                    et puis tuer quelqu'un ne m'aurais jamais fait de mal

Lundi 19 novembre 2007 à 20:37

« Je ne pensais même pas les effleurer

Merveilleux pour eux je suis dangereux »

IAM

 

 

                        Réaction a chaud de l'évacuation d'un étudiant d'une occupation d'amphi.

 

 

Passé la matinée à tracté dans les différents lieu de nos université florissante d'endormissement, puis une après midi entière à réfléchir, penser, proposer, dans un amphi fermé à la lumière du jour. S'engager, pensé et suggérer après réflexion et concertation… j'aurai pus me crois dans une université… je veut dire un lieu de la pensé, de l'intelligence réel et non récité.

On aurait dit..

Et voilà que beaucoup apprécient l'idée. Pourtant l'assumer est une chose différente. Combien reste, annulent leur soirée, et se font les gardiens d'un lieu pris de force peut-être, je vous parle de la force des mots, la capacité oratoire, oui pris par cette balle tiré sur l'ignorance servile. Combien donc ? très peu si peu apparemment trop peut. Belle parole se résume a belle tentative et en somme elle n'est pas glorieuse. Après l'espoir, l'échange… l'illusion peut-être. Fin du chapitre.

Quand on voit la proportion d'acceptation et de tolérance, face aux actes étudiant désespéré afin d'ouvrir un débats d'idée. Il ne fait aucun doute de la bonne volonté des directeurs et des investisseur ( de mèche avouons le nous, si, si) En ce qui concerne l'ouverture d'esprits et l'intérêt qui est porté au sciences humaine, art et lettres…. Bien sur de notre légitimité, il nous a été bien signifié que L'Etat (qu'il, d'après certaine théorie, qu'il serait peut-être temps de remettre au goût du jour, peut perdre quand il se vend au plus offrant) estimait qu'elle n'était pas prise en ligne de compte.

A présent aux mous, castrateurs du mouvement, nécessaire et irréfutablement emplis de cette aura fédérateur qu'il se doit de générer, Je vous condamne par le jury de l'éthique et de mon expérience, d'être Complice de meurtre de la conscience, dont le bras armés fut celui des matraques menaçantes au service du néo-libéralisme barbare dont les borgborimes économique par le rugissement qu'ils font ont étouffé les cries sourd et murmuré, du fond des académies, des tête pensante de l'humanité.

De quoi peut-on bien se venter en France ? Ne nous restera-t-il que le vin dans quelques années dont on puisse être fier ? Bien que le vignoble soit riche en Alsace, il me semble que ce serait bien pauvre.

Que plus personne ne vienne me parler de légitimité d'AG ou quoi que ce soi car pour moi trique et boucliers uniforme et connerie n'ont rien a faire dans un lieu prétendument liée à la connaissance.

Alors quoi ? Se débarrasser une fois pour toute de ceux que qui prétendent aujourd'hui diriger à juste titre nos université nos Service publique et qui ont donné leur parole et leur honneur contre un chèque bien peser et peut-être pour le chiffre bien pensé ? Le choix toute homme l'a et personne ne peut en affirmer le contraire ou alors nous sommes esclaves.

J'accuse l'ignorance, et l'apathie maladive, de mes pairs, la trahison et trop énorme.

 J'appel au meurtre au viol à la haine… C'est ce que vous voudriez n'est-ce pas ? eh bien non,

La réponse quand la stupidité a pris le dessus sur la raison dont se targue les héritiers des lumière je ne l'ai pas. Mais j'affirme être animé par le droit des justes

Faudra-t-il attendre que l'écriture nous soit interdite pour qu'a nouveau l'on reconnaisse son importance.

Les artiste Rap en font déjà les frais. Mais quand ça ne touchait que le dernier mouvement littéraire réel et donc ignoré qui existait ça ne dérangeait pas. Maintenant le revers de la médaille en toc nous frappe, et, bien que l'adage chrétien implique de tendre la joue gauche, ce n'est pas à mon corps que l'on a touché ici mais à mon âme et ma condition d'être. Je me dresse donc, envers et contre tous ceux qui aujourd'hui ont officiellement choisi leur camp.

 

A bon entendeur, condoléances…

 

 

« Vos loi sont immoral

Ma délinquance a des principes. »

 

Kenny Arkana

 

Lundi 4 juin 2007 à 18:53

Parceque L'art a une visée un but. Esthétique certes de toute maniére. Mais cette inmpressions sur les sens, doit permettre a celui-ci de survivre et déclairer.
Le musique y arrive j'en veux pour preuve cette selection sur Radioblog a écouter d'urgens. Comme l'Etat de nos jours.

Se foutre des coups de pied au cul

Lundi 7 mai 2007 à 19:29

Pas besoin de vous dresser le tableau vous vivez comme moi la même époque. Alors voila je vous soumet mon problème. J'ai de la haine, contre mon propre pays. Soyons clair, je l'aime ce pays ces paysages, les habitant aussi parfois la franchouillardise gauloises qui se transmet parfois de génération en génération, c'est pas purement gaulois non, ça c'est clair. Et puis c'est le genre de tradition qui se transmet a tous même ceux qui sont pas français "de souche" si je peut dire ça. Donc parfois on peut rencontrer cette franchouillardise, cette façon d'ouvrir sa gueule et d'ouvrir sa porte pour partager le framton. Oui y'a ça en france. Mais merde, il y'a malaise. Mon pays se facise il ferme sa porte a double tour le soir. Il regarde de travers, méfiant, pereux, anxieux, ignorant, il vote... Je peut me permettre de dire mal? "Apprend a voter" qu'il lui a dit en rigolant aujourd'hui. Et pourtant moi je le penserais presque sincérement. On se méfie pas, a la dérive je voudrais voir crever quelqu'un, comme ça, pour me dire que c'est vraiment grave. Même moi pourquoi pas? La  mort à proximité, réel, sale, pas glorieuse, comme nous. Je voudrais voir flamber la france, je la hais comme je la voix, passive, endormis sur les lauriers d'une prise de la bastille qui ne servis a rien... On remet des roix sur un trône, et on attend. Je voudrais que ça devienne vraiment la merde. Que ces legislatives il les gagnes, comme une punition à notre mémoire amnésique. Que cela finisse dans les armes et les larmes. Que posé sur les ruines fumantes de notre ignorance, nous regardions enfin devant nous, Humbles, mais fier. Enfin Fiers de notre Humanité. Faire jaillir la haine des générations perdus dans "l'effusion sanguine d'une trop commune routine". J'ai de la haine contre ceux qui on pus enchainer tout un pays tout une race, la race humaine à une valeurs chiffrable monneyable échangeable. Il s'agira de sang sur les murs, de bombes pour vos yeux et ma haine dans mon poings levé. Mais en ai-je le droit? Ce droit de prétendre contester ce que tous accepte?

Lundi 23 avril 2007 à 21:20

Voila  un texte écrit presque  a chaud en tout cas nullement retravaillé depuis l'écriture comme le veux le principe du Recueil des Nuits Blanche et autres Nuits .  C'est pas glorieux mais c'est sincére!

C'était Paris sous les bombes. Je te parle de cette instant calme ou l'on se prépare avant la tempête. J'exerce dans l'ombre de ma chambre les expressions de mon appétit, proche de la rage. J'ai une envie de mordre. S'engager violemment, s'engager jusqu'au sang. Le fascisme s'installe tranquillement on lui a laisser le temps mais en dessous sous les gouttière attention la rumeur gronde. Finis de s'apitoyer. Faut voir dehors la fumée de l'herbe qui brûle dans les flammes des endormis. Se réveiller du cauchemar ? la foule acclame la fausseté s'est laissé mettre des peinture de guerre sur les yeux pour ne pas voir ce qui réellement est à abattre. L'engrenage s'est rodé les média au services de la maniacomanie répressive d'un Etat ou la démocratie à laisser la part belle au aristo des fausse vérité du parler vrai. Déshonoré dans sa chair et son sang Marianne s'est tiré une balle. Et pourtant c'était bien essayer l'idée y était certainement mais comme toujours détourné l'information a balayer l'espérance pour rendre l'écho de ce que vomi le mégaphone de la finance lobby de nos hautes instances. Comment ne pas croire comment pouvoir comprendre qu'il ne fallait rien écouter. Que pour ce faire une idée il suffisait de bien se rendre compte qu'il n'y en avait pas de nouvel que rien ne devait changer. Pourtant à défaut de réussir a influer sur notre futur économique incapable d'avouer leur impuissance face aux roi de la finance il fallait bien justifier leur présence comment ? Car leur peur est légitime, imaginé que l'on puisse s'apercevoir qu'il ne peuvent rien pour nous que tous ce qu'il sont encore capable de faire et de tenir la barre a peu prés droite pour ne pas qu'on meurt, mais pas assez haute pour que l'on vive en être humain. La barre pour surnagé mais pas pour avancer. Seulement voilà il faut bien cela pour qu'il puissent conserver leur places et privilèges. Les siéges sont confortable le quitté serait dommage. Alors comment tenir la population à cela ? A cette vie médiocre comment lui faire accepter l'idée qu'il régresse ? Informons le !

Bien sur il oubliera sur quoi il est censé avoir des opinions ou on lui aura tellement taper le cerveau de phrase bien pensée qu'il oubliera de s'en forger une.
Mais pourtant tout n'est pas si facile, tout ne tient qu'a un fil. Il n'y a qu'un pas d'ici à la vérité, tout à chacun est capable de le faire si non de dieu il n'y avait, leur petit drapeau, et leur petit fanion, trônant sur la facétie de mauvais goût. Assurer la stabilité du pays tenter de lui faire peur pour pouvoir le contrôler, qu'il se laisse faire. Seulement certains ne sont pas dupe mais qu'il s'exprime lorsque le mal sera là et on les traitera de fanatique. Il s'agira de sang sur les murs, que les coupables paye chacun leur tour.  Mais qui sont les coupables ? Le libéralisme à réussi à crée un pouvoir dictatorial et anonyme. La société. Mais il y'a complicité. Et la peur prend le partis de la déférence pour sauvegarder une paix horrible, mais qui reste une paix, une paix qui a étouffé toute possibilités d'action. Un paix qui l'a enchaînée. Car la législation plus qu'un outil de libertés dans la paix, enchaîne maintenant pour assurer sa propre libertés à elle et non pas celle de la communauté. La libertés étant un facteur trop grand de risque pour la paix car elle permet l'action, il semble que la solution choisit est celle de supprimé la libertés pour sauvegardé : La société.

Pourtant ce processus n'est pas encore aboutit, et il ne pourra jamais être totalement à l'abris de ce qui définis un humain. Cette capacité d'agir et de brisé ces chaînes par un Actes qui dans ces moment là remet la paix en question pour Mériter est atteindre la liberté.
Le Mérite de l'insurgé c'est qu'il vas jusqu'à oubliée sa recherche de la vie Paisible Pour atteindre sa libertés même si pour cela il doit la trouver dans une mort. L'insurgés est celui qui ce lève se dresse lorsqu'on touche à sa libertés à ce qui le constitue en être humain. Celui qui ouvre les yeux pour ne pas les refermer celui qui ne cède pas à la peur de perdre le matériel et qui fait passer avant tout sa qualité d'humains et le respect qu'il se doit à lui même. Celui qui ose se rebeller pour se mettre face aux système jusqu'à menacer la paix de celui-ci, jusqu'à se voir peut-être seul mais pourtant capable d'oublier son espace privée pour Agir dans un Espace publique seul endroit ou il a ce statut d'humain. Un Espace publique gangrené mais dans lequel malgré tout il se doit d'agir.

Mercredi 21 mars 2007 à 18:29

On fait moins peur quand on chante bien habillé, c'est fou hein ? Quand je me baladait dans la rue sans ma veste et avec mes fut's troué on me regardait bizarrement, aujourd'hui avec cette veste trop courte de récupe mais qui fait encore illusion et bien on m'a souris… a en gerber. Vraiment quel différence ? Je chantais avec la même conviction, les mêmes chansons et pourtant aujourd'hui j'était séduisant, hier je n'était qu'un petit con. A en vomir. La véritable et seul différence c'est que hier quand je chantais je n'était pas aller boire seul dans un bar. Aujourd'hui j'était saoul, un alcoolo sans vergogne qui vous aurait agresser pour un verre de plus mais j'avais une veste. J'étais… présentable ? bref toutes ces horreurs là. J'était moins respectable hier qu'aujourd'hui car aujourd'hui incapable de supporter un simple coup de blues je suis allé boire dans l'espoir d'embrumer mon esprit ( chose que j'ai assez bien réussi a leur ou je vous parle.)

Quel conclusion dois-je en tirer ?

J'aurais du agresser ces gens voilà tout ce que je pense. Montrer véritablement que je n'étais pas respectable et que eux non plus ne le sont pas. Faire peur, qu'ils  ai peur plutôt de moi que de ceux qui n'ont pas le même teint.

Je voudrais cracher à la gueule de tous les passant mais je crois que je vais rester enfermé dans ma chambre. Car effectivement j'ai tout de l'homme qu'on ne doit pas respecter jusqu'à ce point le plus hideux, je suis lâche.

Oh ! mais peut-être certain d'entre vous faisait partis de ces gens ? Bien, soyons lâche jusqu'au bout, je m'en excuse. Mais rassurez-vous même si je ne vous ai pas craché dessus… Le cœur y était.

Lundi 12 mars 2007 à 20:51

Voila un lien vers un autre AMV dirons nous qui ce base sur Las Vegas Parano et un morceau de the Troublemakers j'ai fait un peu ce que j'ai pus et puis le meilleur du film pour la fin

http://video.google.fr/videoplay?docid=6243718697527293746


voili voilou

Dimanche 10 décembre 2006 à 1:32

Un Bordel de lycéen mais dans un Amphi de deux cent personne environ, bienvenue chez les étudiants!
Bienvenue chez des grattes papier de vingt ans.
Mais un bordel joyeux malgrés tout lorsqu'une alusions alcoolique est lancée
Mais ça se calmera vite.
Ou suis-je?
Dans un cadre d'étude, il n'y en a à premiére vus pas plus à tirer que dans un lycée
Le BAC passage décisif dans les études... Pas vraiment non apparament  juste un truc à passer pour pouvoir passer des concours pour passer une porte avec marqué IEP en toute légitimité
Pompidou doubidou wha!...
  La FGDS n'existe plus et on ne veut plus entendre Mitterand
Bef les deux sont morts au final ça me fait une belle jambe.
Ce que je retiens trés subjéctivement de ce cour de vie politique:
La politique est une histoire de chartiets plus rancuniés les uns que les autres
Mais des chartiets qui gérent tout un peuple
Aprés tout c'est normal même si le peuple en bonne mule leur donne quelques fils à retordre celui-ci est trop bête pour réussir à se sauver et même si il hurle
En matiére de rebellion n'importe quel cheval vous le dira
On rut on mord on botte Bref on reste pas là
Certains continus même jusqu'à ce qu'on les abattent
J'entend ce qui semble être une éspèce de tracé de la stratégie militaire euh politique des champs de batailles chaotiques que sont les éléctions en france
Seulement au fil des années on voit que petit à petit les troufions commencent à déserter
Le citoyen cesse d'aller voter
Peut-être est-ce explicable simplement par le ras-le-bol de se faire entuber
Mais Ici le prof vanne les politiciens pendant qu'il en forme de peut-être futur
Un petit 2 pour de petites hisoire entre magouillard
Oui je sais on peut me taxer de beaux parleur et de sarcasmes anti-politique primaire mais je pense que j'aurais du mal à m'en faire une autre idée
De notre vieille tradition démocratique Française
Peut-être qu'elle est en train de crever
Cette vieille tradition
Je la vois bien et je pleure
Cette autre fois grande dame qu'on appelait Marianne est devenus une vieille fille pleine de varice dans laquelle les parasites s'assemble
Notre démocratie est cancéreuse atteinte jusque dans la moelle osseuse
Mais bon l'acharnement thérapeutique n'est pas encore condamnable et le citoyen ne peut pas demander sont euthanasie
Ces médecins ne veulent pas la laisser partir
Tout ces médicament dont elle a besoin
Une démocratie en chimiothérapie c'est une poule aux oeufs d'or pour tout les partis
Nouveaux programmes sans nouvelles idées nouveau brassage d'ambitions sans réel portée
Bien sur!
Cela compliquerait tout l'important est de tenir sa place au chevet mortuaire en piquant au passage sa part dans la perfusion des maguouilles

                     "Sur un mur de l'ambassade de Chine il fut écrit: De Gaule est un chien
                       Malraux la rapport à De Gaule qui y répond Quand même  Malraux, se faire traiter de chien par des Pékinois"

Le bon politicien vogue entre les courants
C'est un métier difficile rendons leur au moins ça mener sa barque en tentant de surnager entre les orages de la foule.
Mais l'orage de plus en plus n'est qu'un crachin comme celui du Nord même si ça n'a pas toujour été le cas
En surpopulation citoyennique nos dirigeants n'arrivent plus à respecter le droit sont obligé de le transgresser
Somme nous devant la preuve effective de l'échec du statut de citoyen? Mais que mettre à la place?
Que mettre à la place de la démocratie maladive de notre nouveau siécle tout en respectant le droit du citoyen
Le Programme Commun de gouvernement

Expression sortis à la sauvette de ce cour.
Regardons la littéralement et là diable que d'étonnement
Ca existe ça?

Question à l'Etat:
Comment te Définis-tu?
Par ceux qui te dirigent? Des Margoulins sans grand interêt
Ceux qui te compose? Une peuplade de plus en plus désintérressé de son avenir social
Ceux qui te pensent et t'écrivent? Des théoriciens trop loin de la réalité du bas de leur rue pleins de pertinences prétencieuses et falatieuses
Entre les Alliés de la bourgeoisie des loges Phallocratiques et le BlaBla stériles à destination des "classes moyennes" puisqu'on les appelles ainsi
La citée, elle, gronde mais seul les explosions se font entendre tandis que l'expression par les mots issus de celle-ci restent une voix étouffés par les boulkiés des grandes instances n'y portant qu'un intéret de censeur
Il y a un fossé tellement grand entre les peuples de France
Fossé creusé par l'incapacité navrante en matiére communicative pure de nos politiciens qui sont (je ris doucement) les représentant de la voix de la vox populi
Navrant, Attristant, Désolant
Choisissez entre rien et un chouya plus ou moins
Et Pendant une heure les résultats de votes défilent comme les chiffres du cours de la bourse

Samedi 7 octobre 2006 à 18:40

Des fois, j'arrive à croire que je ne suis plus homme.
Merci les gens! Les badauds! Un chapeau retourné devant un jeune homme bien habillé, et vous croyez forcément qu'il vous demande quelquechose, mais rien vous ne donnez.
Vos regards ne sont pas miens. Ainsi ils me parlent mais je ne les entends pas .
Hors de la compréhension de votre monde, pour quelques secondes, minutes si précieuses, un instant hors de vous à travers moi, un instant sans vous.
Un
STOP!   Retentissant, vous figeant en une peinture abstraite.
Sur le temps de vos pas, les couple militaires. Un pigeon vous filant au coin de la rue.
Une multiplication des tableaux de votre non-vus.
Ceux don vous dites qu'ils sont " un peu en retard", ceux qu'on voit errer sans but précis, eux vois les voyeurs, moi.
Et les petits pédale, se casse la gueule sur le carrelage mouillé d'un dimanche aprés-midi raté. Les sales gosses que j'étais.

J'invite la psuké à la fermer, et celle-ci semble bien décidé à m'emmerder. Et cela toute ma vie
Les femmes ne sont plus des demoiselles à respecté, mais des pimbéches prude aux allures de fille de joie, trop cruche pour ne pas se laisser avoir par la gente masculine à la perversion inébranlable. La libido est devenus incontrolable et les étalons castras se tire la bourre avec les mammouths poussifs mais soi disant emplis d'une sagesse isus d'année d'expériene. Laquelle? Allez savoir, ça doit surement être une histoire d'apauvrissement du code génétique. Ainsi entre deux enrichissement à l'uranium, on à le temps de s'apauvrir sur notre foie en nous-même.
Les cancers de ceux-ci nous ramenerons alors peut-être sur Terre.

Un couple passe:
"Je pense que ça sera un bon gros bébé.
-La femme: Mais je ne suis pas enceinte
-Sans nul doute mais votre maris semble au dernier mois"

J'aurais pus le dire ainsi.....

Samedi 23 septembre 2006 à 15:39

Ballade

 

Sur l'asphalte de Paname une fille se gratte les doigts.

Parsemé d'envies folles celle-ci aguiche les hommes et rigole

Le malte des bières coulant dans les bars entre deux trottoirs

Le paysage désolant d'une ville qui manque d'épaule

S'extrayant de quelques toiles informatiques une espèce rare

Se voit contrainte de bossé tard le soir sur un trottoir,

Le miroir ce matin s'est levé sur mon visage, souriant à une fille sage

Le train de ses reins que j'use, de mes mains, un peu trop serein.

Pure perte de sexe j'examine cette furie qui s'excite sur mon lit.

La bandaison est difficile, la pornographie m'aide à tendre le fil.

Sur un terrain plat un enfant joue de ses doigts,
triste spectacle,

Sur un gros tas qui à sut user de tact pour que le tactile le fasse jouir

Alors que les murs suintent la puanteur des clébards Je vois un volet s'ouvrir

Sur une vieille qui aboie par le rebord, elle se tord prête à mordre, à accuser à tord

Le voisin déjà mort. Les cadors des menottes ne dénotent pas, ouvrent la porte

Découvre le visage gris d'un age infini, étendu devant son lit.

Le gamin est repartis avec le bonbon promis et s'endormira calmement dans son lit

C'est ainsi que j'examine le visage sans soucis de la naïveté exploité par l'Ancien

Du Baratin

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