cynike

Les choses de mains

Jeudi 10 juillet 2008 à 0:05

Mon amis est couché là, le soir se tombe les pieds dans notre appartement. Combien de temps va-t-on tenir ainsi. Combien de temps pour lui, pour moi. J'ai mon palliatif pour deux semaines dans 4 jours. Il n'a rien. On le sens pourtant tout les deux. La nuit nous a empilé l'un sur l'autre. De désillusion en manque de savoir vivre la recherche se force d'elle même. De sombres instant découragé qui nous mènent à la perpétuité. Est-ce un hasard ce film, Perpét,' qu'on vient de voir? Il est clair que la posthume de l'homme si dessous m'aide à ne pas dormir, Affronter, il n'y que ça pour redorer le blason des quelques gouttes de sueur froide perpétuel qui nous glace les muscles, un par un. Non mon amis Ermite, tu n'es pas seul à devenir un paralysé, tes membre son aussi un peu des nôtres, nos âmes figés sont part de la tienne. Et on se perd au passage. Perdus ? Tu l'es aussi, nous le sommes tous et l'amitié me le fait dire. Enfin je ne règle pas de compte, je n'en ai que chez la vieille salope et peut-être à l'amour quoi que nous soyons quitte. Et la vieille salope ben on s'arrangera le moment venus.
On a embarqué, tous. Perdant au départ on garde nos allures, ça compte. Contre l'ironie, contre le temps, contre nous même. Quand on perd l'horloge de vue les cadrans numérique nous rattrape, les pointeur, le composteur. On est figé à notre époque et la glace ne fond pas assez vite. Je le dis pour les écolos.Attrape le vent si tu le peut,avec des mots, les cons reste là. Froissé de leur impuissance, et nous jeune plein de spermes , on le sens déjà vieux dans nos bide. On recrache le sang coagulé dans le foie. Je l'ai mauvaise ce soir, la foi. Le jeu de mot peut faire de la peine tant il est mauvais, pourtant prenez le comme une suite et pas un jeu. Je joue ma vie dans ces lignes dans la glace qui s'effrite dans mon cerveau. Et je ris.
Nous sommes déjà mort ils peuvent ce qu'ils peuvent bien faire, c'est a dire tout. notre rien les a battus, notre abattement les confonds dans leur inutilité, et ils ont le sommeil paisible. C'est bien...

"Tant que les heures passent"

Tu la sens la mitraille dans tes veines qui rêves du froissement des cliquetis malgrés toi. Le faut semblant ne tien plus. Le mouvement se perd au vide et les tranché les fer et le sang sont mélancolies. ne serais-ce que pour déserté On en a des belle dans l'âme, des armes qui coulisse plus. La rouille nous a pris ici. l'occident meurt d'esprit et de chair. Je meurs du rien mais je le sens.
La fronde? faite moi rire je perd mes dents. Plus de croc. Usé sur des conserves de sentiments.

"Sweet mary..."

"Y'a plus qu'une solution la défenestration..."
A le con on rigole. Ça va ça vient, on fera aller.

Mercredi 9 juillet 2008 à 23:08

Cet homme n'est jamais revenus
Angeles. Elliott Smith
Jamais revenu



Jeudi 3 juillet 2008 à 15:05

Bon j'ai peur qu'on me reproche de dire ça pour être contre d'une manière stérile mais c'est surtout drôle t pis merde quoi! (en plus c'est une citation)


" Ah ouai, aujourd'hui faut être contre le macdo. Pour Ingrid Bétancourt et contre le macdo"



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