cynike

Les choses de mains

Dimanche 25 octobre 2009 à 1:17

Vodka clope et que crève l'obstétrique

Vous voyez comme on peut s'oublier

A faire du vide notre pain quotidien?

 

Et c'est partit! Un tour de scène tour de table, tour de bise.

Salut ça va?

Et j'ai rien contre ça

 

 

Recentre toi gamin. Tu ne peut pas leur en vouloir de ton malheur

Bien continue avec ça. On peut pas s'apitoyer sur toutes les fleurs.

 

Mais c'est le cas. Un peu de tenue. Ténus plutôt puis insupportable, aux hasard du temps.

 


Vendredi 19 décembre 2008 à 18:21

La perversion des arts
L'arnaque de la démocratie
L'imbécilité des religions
La mort servil
L'extase des biens lotis
La vision foireuse
L'outrecuidance du politique
Le droit de cuissage par le showbeez
Les abeilles qui rigolent bien dans la mort
Des images
http://cynike.cowblog.fr/images/349.jpg
et encore des images
Jovial de ce qu'on a pas les moyens de...
Ton cul qui me manque
Parceque j'ai pas envies d'évoluer dans le monde
L'ouverture du narcisse
La charité du colon de gauche
"la bétise qui inciste
les merdes sur les ondes FM"
Les modéles qui trahisse
L'obliger d'y passer




C'est bizarre j'ai envie de pleurer....

Mardi 12 août 2008 à 2:23

Y'a des visages fuyant
 des personnes qui s'éloignent
d'autre qu'on vois partir sur une route
parmi tant d'autre.
Y'a aujourd'hui et ces milliers de passé
Et moi en calbute
entrain de remplir un article pour pas que le blog se ferme
Comme un réflexe idiot
parce que c'est un fenêtre ouverte au si jamais
Y'a des personne dont je ne sais plus rien
et c'est dommage
Une touche de regret
de J'aurais peut-être aimé
Et point barre.

De la répétitions parce que cette article ressemble un peut trop a ce que j'y laisse depuis un bout de temps. de la désuétude en puissance.
Et si j'ai pas sus tant pis tant que ça s'agrave pas pour vous.
On pése des tonnes
faudrait bien larguer quelques caisse

Doryan: "c'est nul"

Ben... ouais désolé

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:42

Le disfonctionnement, le voila, lui absolus qui s'impose.
L'étrange et calculatrice sécurité qui cocoonise peut à peut les êtres dans leur sureté ignorante, tente de le stopper.
Eviter à tout pris un quelconque disfonctionnement du systéme en entier. Ainsi les rouages ont été surproduit, chacun y est inscrit, relié à la machinerie, et si quelque rouage ou avance dans le sens inverse, le système s'en passe et peut se permettre de l'ignorer. Ca n'a rien a voir avec la réprimande, ignorer c'est ne pas tenir compte, la voila la véritable violence.
    L'ignorance comme véritable violence car, même si des élèments multiples croit pourvoir l'attaquer la contre-carrer, elle n'est pas condamnable. Les Ignorants, les vrais, sont ignorant de leur ignorance, et même certains s'en targuent.
Peut-être plus à remettre en cause sont ceux qui du haut de leur connaissance semble ne pas l'être. Ceux là sont coupable d'ignorer les ignorants et ainsi malgrés leurs connaissances et la raison qui prétendait les porter, cette raison même finira par raisonner dans le vide d'amphithéâtre ou ils seront ignoré à leur tour. Leur position qu'ils croyaient acquise est en fait la plus menacée.

       Mais je n'étais pas venus vous parler de ça,en vérité je n'étais pas venus pour parler mais bien pour écrire. Ecrire ce qui ne passe pas. Dans cet état de faiblesse et de fatigue résultant des affres du temps qui fait écrire des textes comme on peut en voir plus haut, ou d'autres moins..(haut). Cette fatigue, alors que ma venus était mus par la volonté d'action dans l'espace publique, a fait opérer à mon esprit un mouvment de replis, retractant mes membres et me faisant me terrer dans un coin, les yeux baissé regardant le sol comme on peut vider sa tête dans les étoiles. Puis cette feuille refletant l'infinie possibilité dans l'univers.
C'est Novembre et le coeur n'y est pas complétement. De considération en tergiversation, je chamboule la suite de mes
idées. J'ai des choix, en entre-deux j'ai rejeté les sommets, tapis sur la plus haute marche d'un hall dépravé.
    "Les coups s'assénent dans ma boîte cranienne", J'ai tout risqué et dans ma substansifique moelle, rien ne résonne. Quel înteret y'a-t-il ici bas pour un homme qui ne sait que contempler les mondes de son contemporanisme. Cicéron ne saurait me blamer. Je me suis engagé, pour la vie, et ce n'est par peur que j'esquive certaines chose a présent, c'est que rien ne m'y attache. J'en ai vus la fin, j'y fonce, je connais la tragédie des peuples. A 18 ans trouver une retraite voilà pour mon contentement. Dieu sait que je ne le serai pas. Soldat pour la justice, Défenseur pour la vie, et pour autant Inconnu dans la ville.
   
    Je n'ai rien à donner au monde que l'amour du désir et la force de mon corps fétiche. Un rien me fait sourire, frémir, rager et pleurer. Sensible à l'excés, J'en suis déjà mort. Puis-je me dire artiste? Poétes?... Je crois et pour autant dans les instant ou je crois pouvoir le dire, il n'y a rien qui ne le trahisse que l'attitude d'un feigneant, l'attitude celle-ci m'aura au moins permis de grimper au plus hautes altitudes dans l'humain.
    Je suis Celui qui ne produit qu'oeuvre dont le cerveau pilles les doutes et les sureté. Celui qui assit ne regarde bientôt plus que passer les petits pieds au pas pressé des passant. Voulant se tenir pour l'éternité dans un cadre de lumière appelant à la grâce dans les sombres années, ce qui est fort peut aisé je vous le concéde.
Dans ce qui temps tout mon âme à plonger dans l'inaction, je crois qu'il y'a une force, qui ne me permet pas de profiter de cet apathi éternelement. Je me sens malgrés tout poussé par cette force de ne rien faire...
Ca ne veu rien dire...
     Bien que si l'on y regarde de plus prés, tout est pourtant là, dans cette rétractation mortifaire. Tout.
Car il n'y a rien, non il ne restera rien.

Dimanche 28 octobre 2007 à 13:37

Dans les ténébres
 J'ai contre plongé
 J'ai du mal viser
ou bien mal cadrer
J'ai pourtant le bonheur dans l'objectif
J'ai brulé tous les négatifs.

Malgrés les mises au points ... Je suis flou.

Le temps des rêves
 Est passé comme un bolide
 Dans l'instantané d'un polaroïd
 J'ai l'impression d'une vie de cliché
Mettant mon coeur surexposé.

Malgrés les mises au points, je suis flou...

 Pauline Croze.


Faire le ménage chez soit comme dans sa tête, ou l'inverse. Et pouvoir peut-être y voir claire.
Prendre une décision, s'y tenir, moins facile que ce qu'il n'y parais
Mais il faut peut-être mieux ça, Quand on n'a pas la raison commune pour soi.

Vendredi 14 septembre 2007 à 12:49

Quand ça vous prend comme ça un jour on se demande pourquoi. Alors quoi se laisser abattre? Dur de voir le monde... Impressionante solitude du déplacement visuel anodin cela se rapproche de l'obcéssion maladive de détail insuportable qui tour a tour révolte et abatte. La ville vous meurt, ses griffes embrumé de trop longues soirés îvres. Déambulation skyzophrénique et prise d'otages de vos sens. Surtout la déambulation. De pire en pire. Ne plus savoir apprécié la bonne compagnie. Quand ça dépasse votre univers vous transplantant dans un Etat second de l'empire de votre pensée.
Diapason sans raison vous donnant un seul son la tristesse d'un mur Blanc ou on aurait rien à Ecrire dessiner chanter. 

Jeudi 26 avril 2007 à 16:30

De la lecture l'envie de lire. Dévorer les mots qui me dévorent l'âme. A chaques mots, chaques fin de phrases, chaques fin de paragraphes, un nouvel anéantissement de l'âme, de ce qui touche à soi, ce qui n'est pas pour nous. Sensations si familliére que l'on a quitté et dont on se demande comment on a pus s'en passer. Voir déclencher par le sens enfoui une infinité de sensations qui n'en sont pas vraiment.
Devoir s'arreter car ennivré de tants de traits sémantiques. Comme si la lecture apportait dès la première fois un nombre de sens incalculable à chaque propositions de l'auteur. Une sorte de clairvoyance pure de ce qui est lu, sans pour autant en décrocher les mots qui l'explique vraiment. Voir l'effet de la phrase sur soit s'y perdre et en apprendre au final bien plus qu'on ne peut vraiment savoir.

Merci...

Lundi 16 avril 2007 à 12:01

Il y a cette fenêtre pour lui rapeler qu'il fait beau dehors. Il voit le coin de ciel bleu et un arbre en fleur dans la cour. Le seul arbre de cette cour. Il voit tous ça et en profite parceque aprés tout c'est pas tous les jours comme ça. Un petit coin de ciel bleu ça peut paraitre bête, mais pour lui c'est de la magie. Tout coule dehors et ce spectacle envers et contre tout s'offre à lui.
Alors contre son mur il grave avant de ne plus pouvoir  le faire ce petit message pour lui pour le prochain à passer ici pourquoi pas aprés tout. " le ciel est bleu à travers la fenêtre"  Il ne pense à rien d'autre qu'à ce ciel un sourire de la part de l'éternité. Ses yeux se mouillent un peu, il séche ces larmes et reste assis un moment. 
" C'est l'heure"
Un dernier regard au dehors, il sourit.


A travers la fenêtre le ciel est bleu on peux même distinguer le bruit de quelques oiseaux qui chantent. Le cris d'un homme, un cliqueti sinistre. Un bruit sourd, deux oiseaux qui s'envole, et le bruit matte d'un corp qui retombe par terre. Le ciel reste bleu, le sol se teint de rouge.

Vendredi 9 mars 2007 à 22:15

Un homme chante dans un grand bar. Autour de lui les gens parlent crient rigolent hurlent, de plaisir ou de douleur. Il voit les ivrognes et alors la chanson qu'il chantait prend un sens. Il voit après ça, tout les amoureux, où ceux qui sont restés assis seul après qu'Elle soit partis. Ainsi des milliers de vies défilent devant ces yeux. Il n'est pas venus pour qu'on le regarde, pas ici, non. Il est venus pour observer en voulant être sur que personne ne le remarque. Là sous les accord qu'il gratouille il s'aperçoit que ces textes ne possèdent pas tout ce qu'il désirerait y mettre.

 Une fille boit assise au bar, en écoutant sans trop le montrer ce mauvais chanteur. Qui gratouille des aires sans trop croire à ce qu'il chante. Elle le regarde et l'attend tout les soirs et ce con, qu'elle pense, n'est même pas foutu de s'en apercevoir. Elle a un peu trop bu et à côté y'a ce gros lourd qui lui bave sur le décolleté depuis une heure en lui payant un coup parce que il veut montrer que pour boire ça il a de la thune. Mais elle s'en fout tout ce qu'elle entend dans se brouhaha c'est la voix de ce chanteur que malgré tout elle aime bien et le visage de ce parolier qu'elle voudrait embrasser.

Il connaît les habitués depuis le temps qu'il les voit s'affaler

Elle largue le lourdaud c'est un refrain qu'elle connaît.

Y'en a une qu'il a bien remarqué.

Et celui là qui a fini de chanter.

A la dérobé, ses yeux…

Il lui a volé un regard.

Pas la première fois….

Que ça ne s'arrête pas..

 

Un homme chante dans un grand bar. Autour de lui les gens rigolent parlent et crient de joie ou de douleur. Il n'en voit qu'une qui se fait payer des coup par des gros lourd. Il ne voit qu'elle qui le regarde ainsi que l'on regarde un dieu. Lui, chante la muse qui lui apporte sa tendresse, ils aiment et leur yeux se caressent.

Mercredi 28 février 2007 à 19:41

Tu les regardes, tu te marre, mais vraiment. Là tu peux te marrer vraiment, un rire que tu entends rarement.

Alors tu regardes tout ce qu'elles te disent, tout ce qu'elles peuvent raconter. Tu souris, tu admires, un rien de leur part t'enchantes et t'emménes dans un autre monde.

Mais soudain voila on en à fait le tour, toutes sont passées et reparties. Un court temps entre l'éphèmére et l'éternité s'est écoulé. Devant vos yeux les images restent un moment,  puis s'etompent car elles font un peu mal. Elles serrent là, dans la poitrine, fort, si fort qu'on veux les chasser à tous jamais. Se proteger fermer sont coeur a tous ce dont elles sont capable de nous faire. Car quand elles sont partis elle n'ont laissé qu'un corps vide.
Ou ne perce que la mélancolie et la nostalgie de ces jours passés...

Putain de Photos. On restera comme ça tout le temps hein?
- Je pense pas. Mais ça veut pas dire que ce sera moins bien...
-Tu pense?
- j'en sait rien en fait...

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