cynike

Les choses de mains

Jeudi 8 juillet 2010 à 22:24

Les honneurs dus aux champs de blés

A notre époque de triste misère du coeur

Ont trouvé leur utilité dans la moisissure

Pour se targuer du surplus de nos silos bétonné

Les fantômes d'époque providentiel

Ont tourné la page. Le rayon de miel

fut fugace en définitive et consommé comme un nuage

Reste des effluves de pesticides à contrôler indiquer et paramétrer

On a bouffer nos Haricots et ceux de Céline

Ne nous éclaire pas dans la nuit

 

J'ouvrage ma misère quotidienne, je l'arrose, la rosse aussi

Un jour, un jour elle sera parfaite ma petite bombe

voilà ce que se répète l'idiot du village qui a bien compris

Que les réseau sociaux ne lui apporteraient pas le respect.

Dans le cumulus des bourses l'eau croupis fluctue

Et j'en perdrais ma part en même temps que le boulot

Virtuel tout ça, manipuler par des virtuoses

Mais ce sont des pantins de chiffre rien de plus

Des poupée de chiffons qui nous mènent la vie dure.

Pour de l'impalpable c'est plutôt concret de se retrouver saisis de ses biens

Faire voire la monnaie et presque un expression dépassé

Comme faire preuve d'amour par des wizz des pocks et les cartes postale par e-mail.

 

En prendre la pleine mesure devient difficile sans être mesquin

Car tout dépend des vitesses de connexion quand

Déconnectés on ne sait plus que parler par octet

On place nos informations intimes sur le même système

Que nos titres bancaires mais rien ne circule dans l'air

On prend la température

Mais les ondes n'ont pas de chaleur à mon gouts

Des satellites je garde la nostalgie de la lune pour faire passer des messages sans destinataire

Et des rapprochements qui font grossir les flots au rythme des chansons

Des ventres de femmes prise par le marin ou la mer c'était pareil

Quelques sots bien sur trouveront du bon gouts à renâcler le passé

D'autre plus con feront la synthèse de ce qui encore peut rapporter

Mais je suis pas un chien à qui on lance le bâton, je ne rapporte pas

Je porte le poids de tout ce que j'aime en pardon de tout ce que je hais en défaut

Et inversement bien sur.

J'ouvrage donc comme l'idiot

Au lendemain sans y penser, avec discernement cherchant la dysfonction

Au bouffonneries la voie du prophète, au prêche le rire de l'enfant

Au chanson la raideur du bois sec. A l'idiot le retour à la terre.






Un texte destiné à être repris sur scène par le Chanteur Estragon qui commence tout juste sa création et dont je vous enjoint à aller voir son début de travail sur le myspace suivant http://www.myspace.com/lestragon
Le travail du crachoir n'a pas repris de nouveau rédacteur en chef et est donc sur le point mort depuis sa mise en grêve qui ne devrait pas cesser avant longtemp.
Ici je poste de temps en temps et plus personne ne semble regarder. La fenêtre reste ouverte.

Mardi 9 février 2010 à 1:22

Il a raison le vieux
Quand il demande du soleil vert
De la lumière
Des chansons d'amours
Je retrouve le gout
Parfois

Des ciel bleus transperçant le ciel
Des nuages épars
J'attends que tombe ton soutiens
Pour choir en ta gorge

Au jardin des enfances
Avec les brailleurs qui se voient capitaine
J'imagine mes voyages
Tes pieds glacé dans l'herbe hautes

Nous voir mouvements
Infatigable nous revoir
Bientôt
Mais il faut encore des soleils qui se lévent
Sur notre absence
De l'un de l'autre de l'annonce faite à mon lit



J'ai retrouvé des couleurs
Des palettes entières
Barbouillé l'inattendue
De roseaux fluté
Avec des pantins bien membré qui en joue
Vachement bien

Peut-être l'amour
N'a-t-il pas été encore écoulé
Avec tout le reste
Et même en solde

Certains le chante
Le plaigne
Et de tout évidence
Il est mourrant


Mais tel un bourré du lundi soir
Tel celui qui trouva le remède pour la leucémie
Dans le fond de son verre de brancardier
De flic, Héros comme un gamin mais toujours ivrogne
Moi comme lui on est sur de trouver la solution
Enfin on l'avait trouvé mais on peut toujours

Jeudi 22 janvier 2009 à 1:15

Comme j'ai soif
Soif de moi même
Du sérieusement déconfit
De la marinade d'apesante expression
Du gand crachat pneumonique
Et des sanglots à mille lieux de la vie.

Bien sur l'alcool me partisianise
Quelques litres
Quelques ronds
Quelques substances sans fond

Mais me boire
Comme une liqueur acre
Qui vous irradie le ventre
Dieu quelle tristesse
...
J'ai la passion sèche.

Jeudi 10 juillet 2008 à 0:05

Mon amis est couché là, le soir se tombe les pieds dans notre appartement. Combien de temps va-t-on tenir ainsi. Combien de temps pour lui, pour moi. J'ai mon palliatif pour deux semaines dans 4 jours. Il n'a rien. On le sens pourtant tout les deux. La nuit nous a empilé l'un sur l'autre. De désillusion en manque de savoir vivre la recherche se force d'elle même. De sombres instant découragé qui nous mènent à la perpétuité. Est-ce un hasard ce film, Perpét,' qu'on vient de voir? Il est clair que la posthume de l'homme si dessous m'aide à ne pas dormir, Affronter, il n'y que ça pour redorer le blason des quelques gouttes de sueur froide perpétuel qui nous glace les muscles, un par un. Non mon amis Ermite, tu n'es pas seul à devenir un paralysé, tes membre son aussi un peu des nôtres, nos âmes figés sont part de la tienne. Et on se perd au passage. Perdus ? Tu l'es aussi, nous le sommes tous et l'amitié me le fait dire. Enfin je ne règle pas de compte, je n'en ai que chez la vieille salope et peut-être à l'amour quoi que nous soyons quitte. Et la vieille salope ben on s'arrangera le moment venus.
On a embarqué, tous. Perdant au départ on garde nos allures, ça compte. Contre l'ironie, contre le temps, contre nous même. Quand on perd l'horloge de vue les cadrans numérique nous rattrape, les pointeur, le composteur. On est figé à notre époque et la glace ne fond pas assez vite. Je le dis pour les écolos.Attrape le vent si tu le peut,avec des mots, les cons reste là. Froissé de leur impuissance, et nous jeune plein de spermes , on le sens déjà vieux dans nos bide. On recrache le sang coagulé dans le foie. Je l'ai mauvaise ce soir, la foi. Le jeu de mot peut faire de la peine tant il est mauvais, pourtant prenez le comme une suite et pas un jeu. Je joue ma vie dans ces lignes dans la glace qui s'effrite dans mon cerveau. Et je ris.
Nous sommes déjà mort ils peuvent ce qu'ils peuvent bien faire, c'est a dire tout. notre rien les a battus, notre abattement les confonds dans leur inutilité, et ils ont le sommeil paisible. C'est bien...

"Tant que les heures passent"

Tu la sens la mitraille dans tes veines qui rêves du froissement des cliquetis malgrés toi. Le faut semblant ne tien plus. Le mouvement se perd au vide et les tranché les fer et le sang sont mélancolies. ne serais-ce que pour déserté On en a des belle dans l'âme, des armes qui coulisse plus. La rouille nous a pris ici. l'occident meurt d'esprit et de chair. Je meurs du rien mais je le sens.
La fronde? faite moi rire je perd mes dents. Plus de croc. Usé sur des conserves de sentiments.

"Sweet mary..."

"Y'a plus qu'une solution la défenestration..."
A le con on rigole. Ça va ça vient, on fera aller.

Jeudi 29 mai 2008 à 18:36

Je passe les étapes
Les carrefours les feux des trappes, mais on s'accroche
Je passe les étapes
Et doucement je remarque dans la bousculade
Qu'entre les boutades, je m'approche de plus en plus de ce que j'amoche
Le fond de mes frocs usé, j'y gratte la grotte à la recherche de pièces à usager
Remonte la glotte, à déglutir sans thune sans pote.
La faute à qui si dans les spots j'suis mal habile à tenir debout
Quand le poids est vide. J'arrime et la syntaxe perd quelques baffes
La CAF, La thune, la ville, ma turne. Je cherche du sens.
Je naufrage, je pense, et mes plaies ne fond plus violence
 La satisfaction dans la raison, merci y'a bon, je perd le fond.
Je cherche du son, question semences sermon, la vie
S'effrite et dans la grotte la main s'excite et flippe.
Des tripes au tripot, texto une chance de boire moins seul.
Sur le terreau d'une Thèse sans gueule.
D'un virage on monte le col



Ce texte a était écrit sous la conduite du sixième morceau contenus sur le blog musical de Sam Sutter, musicien qui vous offre ses œuvres solo dans ce lieu voici le lien.
Voila une des rares indications que je mettrais quand à mes textes, en tout cas je vous conseil si vous lisez ceci de le faire avec la musique en écoutant votre lecture d'un manière hip-hop et si jamais le textes vous emmerdes écoutez aux moins la musique


Lundi 21 avril 2008 à 23:22

Je voulais écrire ce soir

- Ecrire quoi?
-Je sais pas trop, écrire moi.
-Ah ouai de la merde alors.
- Pardon?
-Tu sait bien que faire ça, c'est synonimes d'écrire de la merde. Je sait pas moi t'avais pas un sujet, un truc quelque-chose
-Ben pas vraiment enfin si mais... enfin écrire sur moi là en ce moment...
-Encore une fois?
-Tient tu t'es allumé une cigarette.
-T'occupe, il fait nuit. Et alors pour dire quoi sur toi.
-Des choses...
-Même pas un peu des autres?
-Ben quoi sur les autre?
-Je sais pas moi... qu'ils t'emmerdes, que tu comprends pas, que tu les aimes.
-Déjà vus...
-Comment ça déjà vus?
-Ouais. Déjà vus, prémaché, cuisiné, prét à être chier déjà.
-Et sinon.
-Ca iras pas.
-Et le loups des steppes?
-Oui?
-T'en es?
- Et toi?
-J'temmerde parle pas de moi c'est pareil...

Ben facile alors de se laisser la parole. A qui? Quand? t'a pas une lampe de chevet, pour lire, et creuser encore. Ce qui est mort, ce qui nous tient en vie, donner des coup de pelles. Eclairer le monde a coup de lampes de chevets, haha, pourquoi pas.... ça refrais de la lumière, en passant au-dessus.

Samedi 5 janvier 2008 à 23:59

Plutot que de dire T'as pas cent balle
Chose qu'on ne dit plus
Ou en parlant d'avant.
Bref t'as pas un lampadaire?
Une danseuse de Marley sur un Charleston d'étoile
Mon frére et moi
Moi et mon frère
Pour faire raler
La suite
A la suite
A la chaine
Au bout du rouleau
T'as pas des moules
Et puis des frites
Enfin
Je veux pas abuser hein!

Lundi 11 juin 2007 à 14:56

Ecrire
Quelque chose ou pas grand chose
Mordre les mains s'en prendre a soi.
Le son déchiré d'un accordéon rance
La musique qui étanche
Déchire et s'avance
Oisif
La complainte
Plainte Nauséeuse
Ethilique
Plainte, Crainte
Se cacher dans les draps
Et cracher ses premiers mois.
à la renverse
Se cracher la vie
Et enfin que l'eau coule.
Salée dans ma bouche.
Ecrire
Ne plus penser.

Samedi 27 janvier 2007 à 15:23

Deux textes qui viennent de La ville Française à ce qui parait. Enfin moi ce que j'en dit? Ben ça:

Certe oui:

Certe oui rendons toi cela
Tes grands aires
Ta beauté monumental
Tes femmes toutes ces passantes
Et le spleen des grands homme
qui t'on foulé de leurs pieds.

Allons oui
Je l'avoue
Ta grandeur
Ton univers et ton histoire
Tous ces liens que la nostalgie berce
M'ont touchés j'aurais aimé y être

Seulement
Rends toi bien compte
Tu pus
Toutes tes perversion doré
Tant et tant étalé
Et si mal réparties

Regarde toi
Franchement
tousces liftings
Tant et tant de fois refais
Tout ses atours et tes détours
Cachent les bubons putrides de ton âme

Je cherche
Pourtant en toi
Tu me rebute
Ton peuple s'est perdu
Tes rues ont digéré les parisiens
Il suffit de voir la merde qui te jonche

Toi le modéle raturé
Toi la chance manqué..

Certes Paris:

Certe Paris
Je te cherche en milles nuits

Certe Paris
Tu es ma capital
Certe Paris
Tu ne m'est pas égal
Certe Paris
Ta grandeur sans pareil
Certe Paris
J'ai nagé en ton fleuve vermeil
Et si les couleurs
Les champs et les rois
Te regarde et en pleur
Se noie en émois
Je cracherais sur ton marbre
T'imiterais en grimaces
Saugrenues et salaces
Et quand dimanche sonnera
Je volerais d'entre tes bras
Tes pimbêches aux bas de soie
Qui rigole sur Pigale.
Mais moi je vois dans ton sein
La répétition de tes croquants
Tout ces gens remplis d'inteligence
Et qui s'en remplissent la panse

Mardi 16 janvier 2007 à 21:22

Je suis par terre
Je suis fatigué
Je suis improductif
Je suis mauvais
J'ecris mal
J'écris faut
Je mord dans le vide
Au vus de tout ça finalement
Je ne suis plus
Je je je je je je je je
Sans rien d'autre
Je me vautre
Je est un autre
Merci Rimbaud
Des mots mâchés remâchés
Tout prés à être régurgité
Sans conscience
Sans passion
Sans son
Sans rien sans raison
Un amas
De Jeu creux
De Je veule
à s'en bruler les doigts
Du travail bien torcher
Aux chiottes balancé
MC the light
Cour jus à cour de jus
On resserre un verre
On boit le nez en l'air
Et je reviens
Et je s'en vas
Un va et vien entre ses doigts
Plus rien ne bouge
Silence de mort
Le rideau tombe
La scène s'endort
Par la porte de derrière
Monsieur
Par la petite porte
Celle des petites histoire
Des étoiles d'un soir
La petite porte
Ou Je reviens
Mais ça on ne le voit pas bien
Je il dira rien
Je il en a pas besoin
Je s'en va et en faut frère doué
Me tient la main
Je m'égare

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