cynike

Les choses de mains

Vendredi 20 octobre 2006 à 21:38

Ici alors que les aérosols odorent et empestent le chlorophorme qui vous endorent. J'aimerais être "à fleur de peaux fleurer la fleur être la fine fleur de ma peau"
Mais la ville pue on fait ce qu'on peu pourtant pour trouver des fleurs de beauté mais l'odorat n'est qu'au service de l'horrible odeur des rues.

Les fleurs sont gangréné
L'homme dégénéré
Pourtant
Regarde
Au détour d'une rue un point sans vus
Une vision informe.
Une ombre furtive et anodine
Un homme de tous les jours vient de porter un coup fatal aux murs de vos tours.
Sur le gris des murs qui enferme il dessine la fleur du bonheur
Le corps tremblant, Mais la main ferme.
Et ainsi cette fragile beautée
Se dresse
Envers et contre tous
Dans la ville certain espére

Vendredi 1er septembre 2006 à 23:12

T'es l'ami
Qui s'en vat-en guerre
L'ami
Dans sa tête désepére
L'ami
Plutot vas prendre l'air
L'ami
Jette en l'air
Quelques mots puis se retourne
Regarde ces pas
L'ami crache qu'il reviendra
Ou pas
L'ami
S'en est allé un matin
L'ami
Des allures de croc mitaine dans les Mains
L'ami
Plus ou moins
L'ami
Tu restera le mien
L'ami
Si un jour tu reviens
L'ami
Avec ta tête de malin
L'ami
Tu resteras le miens
D'Ami
même si pour toi je n'en suis pas un
Un bonne Ami
J'en restes un

Mardi 8 août 2006 à 11:48

 Papa je ne t'en veux pas
Il n'y a rien contre toi
Papa les mots se mélangent
Regarde je ne suis plus un ange
Papa Noël est horrible chez toi
Avant il y avait autre chose mais quoi?
Papa ton fils n'a plus de pére
Et ses rêves ont un gout amer
Papa je ne t'idéalise plus
Et mes amis l'ont bien vus
Papa je ne veux plus venir
Le pére Noël est écrasé par le train
Papa je ne veux plus des matins
Et les soirs chez toi sont pire
Papa je t'avouerais, j'ai besoin de partir
Je ne sais pas si j'ai envie de sourir
Papa tes dollars ne sont rien
J'ai peur mais je pars au matin
Papa je crois qu'il te manque
Dérriére ton sourire tu te planque
Papa même si tu ne cache rien
Je ne te donnerais plus la main
Papa ton quai n'est plus amarable
Je ne me sent pas coupable
Papa, Aurevoir suffira
Tu reste mon pére, restons en là.

Vendredi 28 juillet 2006 à 3:20

La faute à  la bouteille portant ton nom

les femmes ou les regrets sont le cancer de l'âme

portant mille voluptés dans une ivresse feinte ou avéré

je mords joyeusement la queue des serpantinante pensé d'une nuit d'été

respire

Alors que l'arbre de mes pensées fleuri de mille effacement doré

une fille danse sur les nuages de rosé

s'appuyer sur le récit de l' amoniac

j'ai crus voir un reflet de nuages miroitant la beauté

mangeur de funambules cajoleur

j'ai vus. non. je n'ai qu'entraperçu

respirer, difficilement un air

plein de battement d'ailes de libellules frêle

je te boufferais pour te cracher sur une dalle de pierre tacheté de ton sang enivrant

meurs

Ingrâte dit-on

Tant pis

Tu dors et tout est fini

Tu dors et tout s'efface c'est horrible

De l'autre côté de cette porte de sang

Ingrâte

cette pensée qui pense encore à toi

juste toi et les mots qui tournent autour

Tout était simple

Ou presque

Il suffisait d'entrer

Passer cette porte ton nom était inscrit

Dessus

Bonheur volatile

Je meurs et tu dors

Encore

Encore je me perds les pieds brûlés

Sur ta voix ton visage

Tu seras partie

Avant qu'on se lève

Avant qu'on s'élève

Avant que nos lèvres

Aient le temps de s'écrire

Que répondre à tout ça?

Rien

Lis le juste

Libellule d'un soir d'été

Libellule d'un printemps

Malade comme un chien

Errant malgré lui

Trois paysages

Lui moi et lui

Ils se perdent sous les étoiles

Sous lesquelles tu es

A plus tard

Juste une ligne blanche

blanc des os qui se désagrégent

dans la glaise de mes pensées

trouble s'alourdis l'air de ma loudeur

à t'écrire à te parler

rien ne t'empéche de vivre

alors que mes pensées s'innonde

j'aspire à voir le temps d'une hécatombe

tombe tombe ma phrase au milieu du ruisseaux

perdre ses mots au milieu de ces croix

d'honneur mettre un point pour ne pas avoir peur

toi

s'arracher le coeur

l'écarlate parsemme le sol

enfin la fin l'oublis

la nuit

j'oublis car finir

c'est une façon

de te voir en désir fin de la mire enscenceuse

je creuse je creuse

je m'use dans une écluse mise entre deux murs

souris mon démon passera entre deux bagatelles

Mais, même a la fin des temps, les gens survivent a toi.

Pourquoi? Comment?

Dieu seul le sait.

je crois qu'il est temps de mettre un terme à cette mascarade d'ivresse, même si les maux sont trop nombreux pour sortir de l'infini il y-a autre chose qui cour pour ne pas s'apercevoir que le temps passe

J'ai supprimé la fin, elle ne servais à rien mais le reste n'est pas si mal.

Merci à Gilles pour les italiques

A Doryan pour les vers rouge et rassurant

A Pauline pour la fête qui était une franche réussite

Jeudi 27 juillet 2006 à 10:34

Voila un petit poémes ancien qui ne vaut pas grand choses mais c'est histoire de faire patienter ceu qui passeraient vite fait . Je pense commencé par remettre des anciens textes de mon derniers blog, des textes que j'aime encore. Ce sera pas de l'inédit mais au moin ça ressemblera à quelque-chose 

La tête dans les nuages de la virtuosité

L'envie de serrer le ciel, mordre la terre

Jouer avec des cafards multicolores

Goûter à un fruit, le recracher aigris

Manger dans le plafond les vers de terre

Voir le monde qui s'endort

Autour de moi un battement puis cesse la vie

Les garçons approchent les filles sans les aimer

 

Translucide la nuit ment sous les colombages

S'agrippant à la potence il danse

Renifler la poussière en s'étouffant

Se perdre une autre manière de ne plus vivre

Chercher sous les robes au jeune âge

Marchant  autour de la masse en transe

Sentir autour de moi une main caressant

Mes paupières me réveillant encore une fois ivre

 

La tour se dresse et si le bas blesse

Mes instincts pour me tenir en laisse

Je mordrais les mains de quiconque

S'agrippe à la frange qui tombe

De ta tête, mandragore, petite bête.

Je t'adore. Oh maudite fille de fête

 

La rumeur se meurt en complainte sans odeur

Elle gronde cette rumeur en mon cœur

Le roulé-boulé de tes deux mains écrasant

un parapluie dans la rosée du matin chantant

 

Souffle, souffle, sur un petit carreau plein de barreaux

La langue étrangère de tes lèvres sent le roseau

 

Ton jardin secret que je cherche à profaner .

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