cynike

Les choses de mains

Samedi 27 janvier 2007 à 15:23

Deux textes qui viennent de La ville Française à ce qui parait. Enfin moi ce que j'en dit? Ben ça:

Certe oui:

Certe oui rendons toi cela
Tes grands aires
Ta beauté monumental
Tes femmes toutes ces passantes
Et le spleen des grands homme
qui t'on foulé de leurs pieds.

Allons oui
Je l'avoue
Ta grandeur
Ton univers et ton histoire
Tous ces liens que la nostalgie berce
M'ont touchés j'aurais aimé y être

Seulement
Rends toi bien compte
Tu pus
Toutes tes perversion doré
Tant et tant étalé
Et si mal réparties

Regarde toi
Franchement
tousces liftings
Tant et tant de fois refais
Tout ses atours et tes détours
Cachent les bubons putrides de ton âme

Je cherche
Pourtant en toi
Tu me rebute
Ton peuple s'est perdu
Tes rues ont digéré les parisiens
Il suffit de voir la merde qui te jonche

Toi le modéle raturé
Toi la chance manqué..

Certes Paris:

Certe Paris
Je te cherche en milles nuits

Certe Paris
Tu es ma capital
Certe Paris
Tu ne m'est pas égal
Certe Paris
Ta grandeur sans pareil
Certe Paris
J'ai nagé en ton fleuve vermeil
Et si les couleurs
Les champs et les rois
Te regarde et en pleur
Se noie en émois
Je cracherais sur ton marbre
T'imiterais en grimaces
Saugrenues et salaces
Et quand dimanche sonnera
Je volerais d'entre tes bras
Tes pimbêches aux bas de soie
Qui rigole sur Pigale.
Mais moi je vois dans ton sein
La répétition de tes croquants
Tout ces gens remplis d'inteligence
Et qui s'en remplissent la panse

Mardi 16 janvier 2007 à 21:22

Je suis par terre
Je suis fatigué
Je suis improductif
Je suis mauvais
J'ecris mal
J'écris faut
Je mord dans le vide
Au vus de tout ça finalement
Je ne suis plus
Je je je je je je je je
Sans rien d'autre
Je me vautre
Je est un autre
Merci Rimbaud
Des mots mâchés remâchés
Tout prés à être régurgité
Sans conscience
Sans passion
Sans son
Sans rien sans raison
Un amas
De Jeu creux
De Je veule
à s'en bruler les doigts
Du travail bien torcher
Aux chiottes balancé
MC the light
Cour jus à cour de jus
On resserre un verre
On boit le nez en l'air
Et je reviens
Et je s'en vas
Un va et vien entre ses doigts
Plus rien ne bouge
Silence de mort
Le rideau tombe
La scène s'endort
Par la porte de derrière
Monsieur
Par la petite porte
Celle des petites histoire
Des étoiles d'un soir
La petite porte
Ou Je reviens
Mais ça on ne le voit pas bien
Je il dira rien
Je il en a pas besoin
Je s'en va et en faut frère doué
Me tient la main
Je m'égare

Dimanche 14 janvier 2007 à 11:18

Juste, quelque mots, virtuose des pavés et de l'argot. Prenons nous aux jeux de la haut. Alors partons du point de vu des faut. Si j'avais su, alors moi mon fusil et mon stylo, on serais partis de cette garde a vu. Le mental, le jugement des parole, pendant que certains on la dalle On les confinent, ils ont la galle peut-être ? Qui aurais le courage de vouloir naître là-bas, ou les coups de feu les coups bas, sont monnaie courante. La bien pensante bientôt présidente, nous fuis comme la peste. Les origines, les lieux de vie, c'est manifeste on pus, on empeste et pourtant. C'est bien chez vous dans le même pays on est pas des fous vient par ici, tu verras que nous aussi on a des mots, des farandoles, des idéaux et même si c'est pas fréquentable faudra vous mettre à table quand on vous prendra à la gorge. Vous sortir le pain de la bouche on veut de l'orge, de quoi bouffer, faut qu'on égorge qui pour entendre enfin les cris de no murmures ? la rumeur se gonfle éclate comme une claque et l'on s'étonne que la débâcle touche parfois vos portes ? Lorsqu'on écarte le voile qui masque vos yeux on peut si l'on veut se montrer au mieux. Des vieux sages entre les cages, murmurent les anciennes paroles des ages de la tolérance, la minute d'intelligence, s'il vous plait, déjà certain crient vengeance.

Interdiction proscription délation et maton de père en fiston, c'est pareil pour les haut fonctionnaire. Envies d'en vomir mes glaires quand voit tels énergumènes. Difficile de pas avoir la haine à bouffer leur conneries qui me font de la peine, des paroles a la mauvaises haleine. Arnaqueurs par centaine alors que les cités pleine, passé l'heure ou elle se plaignent, hurlent et gémissent mais continue d'engrosser les génisse. Ca pu a foison la pisse dans les discours des mauvais artistes, acheté pour l'image on en cache le carnage des mots, de la langue et je tiendrais pas la mienne quitte à nager dans la fange. Ma parole pour seul arme, parole d'homme. Celui qui verse encore des larmes enfermé dans le dôme de gaz des villes, entre phase, extase et le mortuaire des phrase. Tous frères tombé a terre, tous ceux tombé les mains en l'air. On the road to Sion man. The road to Sion man

Samedi 6 janvier 2007 à 23:53

Ben voila pris d'un sursaut je me pose une question que je califierais sommairement d'existentiel.

Dans quel monde vivrons-nous dans 30 ans ?
Ca me trote dans le crane et j'ai du mal à être optimiste... En fait je crois que j'ai peur même
Bonne nuit à tous

François Gorrissen à environ minuit je crois
.

Mercredi 3 janvier 2007 à 19:42

Voila c'est Le clip de la chanson de fin de Battle Royal par les grands Dragon Ash :

Shizuka na hibi no kaidan wo

Mercredi 3 janvier 2007 à 18:37

Par delà une marche bancal
la liste s'allonge
Des noms des Hannibal
et les portes se referment
Rome s'est éteinte

On frappe la porte s'ouvre alors sur une corde tendus
Mon air ce couvre d'un désert tenus
Mais je reste face à cette homme trapus qui d'un air vaincus
Me dit : Assis, le monde sur les genoux…

Je n'ai pus l'écraser le prendre entre mes doigts au moment ou il s'offrait à moi, au moins aurais-je pus l'effleurer, le sentire respirer, pleurer, rager sur les souffrance, taper du pied aux rythmes des danses, fendre l'espace et faire la grimace au comètes qui passe dans les bouchons de l'autoroute interstellaire, sursauté sous le feu des armes et trembler sous le poids des bombes, celles qui créent les rides et les cratères qui la parsèment. Cette vieille terre comme une femme fragile entre mes doigts ses yeux mouillants qui pleuraient sur le cadavre de ses créatures. Une vieille dame sans sa canne qui perdait doucement ses dents et que ces enfant fatiguaient en la pillant sans relâche. Alors oui j'ai été lâche et j'en suis fière, j'ai reculé je l'ai regardé avant de partir et elle était belle sous son manteau de vieillesse alors je n'ai pas regretter mon geste j'étais persuadé qu'elle retrouverais son teint du matin.
Un mort me parlait ainsi.

Par delà la corde une fenêtre

Ouverte

J'en saute je sort alors de moi et je suis aspiré par le haut je monte l'espace sa nuit qui me glace le sang je regarde le soleil hors du temps et de la peine

Un enfant lune qui se prend pour saturne
Lorsque je reviens le mort est vivant et inversement…

La haut des montagnes de la neige mais c'est ailleurs

La tête contre une vitre qui s'échappent d'entre mes cheveux

Soudains le vent la pluie.

La caresse d'un songe sans âme

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast