cynike

Les choses de mains

Dimanche 14 janvier 2007 à 11:18

Juste, quelque mots, virtuose des pavés et de l'argot. Prenons nous aux jeux de la haut. Alors partons du point de vu des faut. Si j'avais su, alors moi mon fusil et mon stylo, on serais partis de cette garde a vu. Le mental, le jugement des parole, pendant que certains on la dalle On les confinent, ils ont la galle peut-être ? Qui aurais le courage de vouloir naître là-bas, ou les coups de feu les coups bas, sont monnaie courante. La bien pensante bientôt présidente, nous fuis comme la peste. Les origines, les lieux de vie, c'est manifeste on pus, on empeste et pourtant. C'est bien chez vous dans le même pays on est pas des fous vient par ici, tu verras que nous aussi on a des mots, des farandoles, des idéaux et même si c'est pas fréquentable faudra vous mettre à table quand on vous prendra à la gorge. Vous sortir le pain de la bouche on veut de l'orge, de quoi bouffer, faut qu'on égorge qui pour entendre enfin les cris de no murmures ? la rumeur se gonfle éclate comme une claque et l'on s'étonne que la débâcle touche parfois vos portes ? Lorsqu'on écarte le voile qui masque vos yeux on peut si l'on veut se montrer au mieux. Des vieux sages entre les cages, murmurent les anciennes paroles des ages de la tolérance, la minute d'intelligence, s'il vous plait, déjà certain crient vengeance.

Interdiction proscription délation et maton de père en fiston, c'est pareil pour les haut fonctionnaire. Envies d'en vomir mes glaires quand voit tels énergumènes. Difficile de pas avoir la haine à bouffer leur conneries qui me font de la peine, des paroles a la mauvaises haleine. Arnaqueurs par centaine alors que les cités pleine, passé l'heure ou elle se plaignent, hurlent et gémissent mais continue d'engrosser les génisse. Ca pu a foison la pisse dans les discours des mauvais artistes, acheté pour l'image on en cache le carnage des mots, de la langue et je tiendrais pas la mienne quitte à nager dans la fange. Ma parole pour seul arme, parole d'homme. Celui qui verse encore des larmes enfermé dans le dôme de gaz des villes, entre phase, extase et le mortuaire des phrase. Tous frères tombé a terre, tous ceux tombé les mains en l'air. On the road to Sion man. The road to Sion man

Par hic le Dimanche 14 janvier 2007 à 18:18
Zzzzion !
 

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