cynike

Les choses de mains

Samedi 5 août 2006 à 18:20

Quelques citations de ce bon vieux Pierre Joseph Proudhon

"La Politique est la science de la liberté"   Qu'est ce que la propriété? 1840

"Il faut avoir vécu dans cette isoloir qu'on appelle Assemblé National, pour concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complétement l'état d'un pays sont presque toujours ceux qui le représentent" Confessions d'un Révolutionnaire

"Le gouvernement de l'homme par l'homme, sous quelque nom qu'il se déguise, est oppression"  Qu'est ce que la propriété?

Samedi 5 août 2006 à 13:24

Extrait du receuil Nuit Blanche que j'ai commencé

De jour : la nuit

 

Le pire pour un acteur dans toute sa vie, je pense, serais de louper sa sortis de scène. Se louper sur le tombé de rideau doit être franchement horrible à vivre, surtout si proche de la mort. J'imagine une impression d'avoir loupé sa vie en loupant sa mort. C'est assez drôle. Maintenant à 17 ans, me direz-vous, que connaît-on de la mort ?

Mais en sait-on vraiment plus à 80 ?

Voir la mort frapper un être est-ce la connaître mieux ? Je ne dis pas ça par prétention de savoir, pour tout vous avouez, je suis un ignorant, mais je pense que nombre d'homme en parle bien plus en croyant avoir connaissance de la cause. L'hystérie collective de la vie humaine me laisse bien souvent de glace ou alors me fait rire tristement.

La paranoïa de toute une population ne maîtrisant plus rien de sa vie. Le ballet incessant de la population occidental courant, trébuchant, porté par une puissance qui m'est inconnu.

Certain voulant s'en sortir veule voir du pays d'autre plus ambitieux veule voir le monde.

Mais je ne crois pas que c'est en le courant, qu'on à le temps de le voir vraiment tel qu'il est, avec ces bon et ces mauvais cotés.

Mais en même temps, que peuvent dirent les sédentaires de ce monde ?

Qu'il est grand ?

C'est bien pauvre mais d'autre ne survivrons pas à un hiver rigoureux.

 

Au final, que nous apprend la vie ? Que les grands rêves perdent leurs couleurs et que l'on se contentera d'une vie simple aux côtés d'une femme, qui nous enfermera dans une vie si peu trépidante que l'ennuie deviendra notre plus fidèle ami.

Si encore la beauté était éternel chez cette fille que je regarde, mais comme toujours la fleur fanera la sienne, la mienne.

Je suis mortel dans la chair et dans l'esprit car mon esprit vieillira, autant que ma chair se ridera.

Le sommeil rend l'âme innocente car pratiquement incapable d'action.

Vendredi 4 août 2006 à 18:13

Un de plus un de moins. Un texte qui vaut moins que rien. Qui à dit que les mots soulevé des montagnes qu'ils étaient plus fort que tout. Je vois des mots pour rien tous les jour utilisé par les chiens. Et on continue de massacrer, toujours un champ de bataille à nettoyer. On entasse les cadavres ça fait mauvais genre. On passe à la télé, mais « on » ne pourra pas en profiter, « on » est mort, c'est les cadavres qu'ils sont venus filmer. L'excroissance menant à la boucherie pendant que monsieur VIP danse, il ne s'inquiète pas, le bénéfice grimpe, la guerre paye bien pour ceux qui n'on pas de sang sur les mains. Et ne crois pas que leur conscience soit atteinte. Ils ont l'esprit conformé à leur horreur.

Faut-il massacrer une population entière pour tenter d'éclairer les survivant ? La guerre à but pédagogique, il me semble qu'il y a une mouche dans le potage. Pourtant le concept rencontre un franc succès, mais les résultat ne semble pas au rendez-vous. Certainement la faute à la crise économique qui nous fou tous dedans, comme dirait l'ancien.

D'ailleurs l'ancien ils s'en fous tant qu'on le fait pas chier chez lui, il s'attristera cinq minute devant sa télé, mais après ?

 

 On n'y peut rien il paraît.

Il paraît…

Mais moi ça commence à me gaver. Et puis cette maniére de présenter les faits. Comment savoir ou prendre les informations? Comment savoir que l'on ne va pas essayer de nous rouler un fois de plus. Comment se fait-il que même les hommes de plumes ne soit plus honnéte mais cupide à souhait?

Comment peut-on écrire par envies de profits?

Les poétes des temps passé on brisé leurs cercueils à force de se retourner dans leur tombe et je les comprend.

La pourriture de leur chair n'est rien leur mots sont encore la pour que nous créions les notres les poête sont des batisseurs de passion. Les éveillé de leur tombe nous réveillerons.

Mais j'ai peur. Imaginé, si demain on m'interdisait d'écrire à moi et à tout autre personne ayant des choses à dire, à tous ces fous à la plume vagabonde. La censure est toujours présente, prenez garde car aujourd'hui certain s'attelles, entre deux guerre, à interdire au mots de vivre en tout liberté

J'ai peur pour demain, et aprés demain, et......

Mardi 1er août 2006 à 11:44

Il parait que ça ce fait sur un blog...
Au départ j'était pas trop dans cette optique de topic, mais là, ce matin...
Les miracles de la téchnologie moderne fond que cette journée n'aura pas la même saveur qu'une journée de tous les jours. Q'un ;  "désolé de ne pas avoir répondu" entraine une suite de parole rassurante et chaleureuse... pour moi.
Elle ne peut pas venir et moi non plus.
 Je n'ai jammais était aussi content dés le matin. Le mauvais goût me plait. Même les pubs, tout en restant d'une misérable pauvretée, ne me dérange plus. Une belle journée sous la pluie. Elle ne viendra pas à notre rendez-vous de cette aprés-midi, et moi non plus. 
J'ai trouvé sur le sol une fée qui m'a dit "donne moi rendez-vous cette nuit, je n'irais jammais de toute ma vie". Je lui ai répondu : soit, de toute façons je n'ai pas d'argent pour me déplacer ou que ce soit si c'est pour toi. Elle à souris, et tout est devenus clair, la journée se devait d'étre belle.

Les lutins de sa basse cour avait faim, elle se devait de les nourires, alors elle est partit. Mais avant cela, elle eu quelques petits mots pour me réprimander.
En effet le seul mot que j'avais trouvé pour saluer une fée fut "ciao". Elle me fit remarquer que cela manqué d'une once de "chaleur", de sympathie, de convivialité pourquoi pas.. alors je me suis rattrapé trés vite, mais en dévoilant à mot si peu voilé le fond de ma pensée, j'ai rougi de honte .. non, d'embarra. Il me semble qu'elle aussi fut étonné de cette excés de franchise mais comment savoir quand une fée multicolore rougit? hein? J'aimerais vous y voir moi!! 
Elle me laissa un bisous, même deux il me semble, ce qui me déconnecta complétement.
Complétement perdu je la salua finalement dans un mauvais goût extréme d'un " Bye bye ma grande". Ce qui me laisse une once de remord et de honte dans la gorge.

Mais voila une bonne journée car tout ceci c'est passé grace à notre "pc" respectif et un programme de merde c'est à dire MSN messenger.
C'est dingue comme on peut tout romancer dans la vie. tu m'étonne que il y ai tant d'histoires basées sur des fées réelles dans la prod hollywoodienne

Lundi 31 juillet 2006 à 11:09

Ce matin des enfants sont mort.
Les adultes se balance des bombes les enfants payent.
Est-ce que c'est normal?
Pour un dieu qui n'existe que dans le coeur des hommes, a-t-on le droit de supprimer des vies à peine entamés.
Tant de rire éteints sous le feu de la folie. Que les soldats créve c'est leur métier, pourquoi pas aprés tout. ce n'est qu'une question de point de vue, mais des enfants...
Ici chez moi il fait beau, un été sans pareil, pourtant le ciel azur a un gout de sang
.

Lundi 31 juillet 2006 à 9:23

Normalement ce devrais être un rythme, régulier, monotone, éternel. Chaque heure étant composé de soixante minutes, elles même composé pour chacune de soixante autre secondes.
Seulement, parfois le temps passe trés vite devant vous et on a l'impression d'étre une vache regardant passé un TGV. le battement le changement de rythme. Il me semble impossible alors qu'une seconde aie la même valeur à ce moment là. La théorie de la relativité selon Einstein? En trés simplifié alors. Et puis il n'y a pas besion de s'intéresser à cette théorie pour savoir que ça existe. Tant de moment ou on peut avoir l'impression de piétiner sur place en attendant qu'il passe et tant d'autre ou il passe si vite qu'on à l'impression de l'avoir loupé au vol.

C'est désagréable, alors je m'étonne plus que certain cherche à le tuer avec des activitées plus ennuyeuses les unes des autres.

Samedi 29 juillet 2006 à 12:34

Un ancien texte de mon blog, mais je l'ai écrit juste avant de le supprimer, alors voila pour vous. Ca permet d'inaugurer la rubrique Politique sans prétentions

Liberté

 

 

Un cri cour celui d'un ami. Comment rester insensible à cet appel ? L'éveillé m'a réveillé.

Le doux rêve d'une vie entière.

Ami tu n'es pas seul.

Liberté, cette mélodie qui sonne jours après jours, l'envie de se voir transporté par tant de simplicité si dure à acquérir.

Ami nous ne sommes pas seuls

La route est longue le bitume brûle nos pieds, nos sourires se transforment en grimace.

Pourtant

Amis nous sommes légion 

Armé de paix notre courage sera mis à rudes épreuves, nos passions passeront souvent pour des illusions. Notre sagesse folle brisera les murs des endormis, ceux que notre route croisera ne pourront pas nous croire, ne voudrons peut-être pas.

Amis nous sommes une voix

Notre forme multicolore passera pour mirage assourdissant, les pas de notre nature vive défieront celle morte de trop de temps perdus à attendre.

Amis nous agirons

Avec ou sans permissions

Amis nous vivrons pleinement dans l'éternité ou pour quelque temps.

Vivre libre n'es pas un rêve, vivre libre est un combat sans trêves, vivre libre est une manière d'affirmer que tous reste à faire, car les anciens en ont trop fait pour que l'on s'arrête sans essayer.

Vendredi 28 juillet 2006 à 3:20

La faute à  la bouteille portant ton nom

les femmes ou les regrets sont le cancer de l'âme

portant mille voluptés dans une ivresse feinte ou avéré

je mords joyeusement la queue des serpantinante pensé d'une nuit d'été

respire

Alors que l'arbre de mes pensées fleuri de mille effacement doré

une fille danse sur les nuages de rosé

s'appuyer sur le récit de l' amoniac

j'ai crus voir un reflet de nuages miroitant la beauté

mangeur de funambules cajoleur

j'ai vus. non. je n'ai qu'entraperçu

respirer, difficilement un air

plein de battement d'ailes de libellules frêle

je te boufferais pour te cracher sur une dalle de pierre tacheté de ton sang enivrant

meurs

Ingrâte dit-on

Tant pis

Tu dors et tout est fini

Tu dors et tout s'efface c'est horrible

De l'autre côté de cette porte de sang

Ingrâte

cette pensée qui pense encore à toi

juste toi et les mots qui tournent autour

Tout était simple

Ou presque

Il suffisait d'entrer

Passer cette porte ton nom était inscrit

Dessus

Bonheur volatile

Je meurs et tu dors

Encore

Encore je me perds les pieds brûlés

Sur ta voix ton visage

Tu seras partie

Avant qu'on se lève

Avant qu'on s'élève

Avant que nos lèvres

Aient le temps de s'écrire

Que répondre à tout ça?

Rien

Lis le juste

Libellule d'un soir d'été

Libellule d'un printemps

Malade comme un chien

Errant malgré lui

Trois paysages

Lui moi et lui

Ils se perdent sous les étoiles

Sous lesquelles tu es

A plus tard

Juste une ligne blanche

blanc des os qui se désagrégent

dans la glaise de mes pensées

trouble s'alourdis l'air de ma loudeur

à t'écrire à te parler

rien ne t'empéche de vivre

alors que mes pensées s'innonde

j'aspire à voir le temps d'une hécatombe

tombe tombe ma phrase au milieu du ruisseaux

perdre ses mots au milieu de ces croix

d'honneur mettre un point pour ne pas avoir peur

toi

s'arracher le coeur

l'écarlate parsemme le sol

enfin la fin l'oublis

la nuit

j'oublis car finir

c'est une façon

de te voir en désir fin de la mire enscenceuse

je creuse je creuse

je m'use dans une écluse mise entre deux murs

souris mon démon passera entre deux bagatelles

Mais, même a la fin des temps, les gens survivent a toi.

Pourquoi? Comment?

Dieu seul le sait.

je crois qu'il est temps de mettre un terme à cette mascarade d'ivresse, même si les maux sont trop nombreux pour sortir de l'infini il y-a autre chose qui cour pour ne pas s'apercevoir que le temps passe

J'ai supprimé la fin, elle ne servais à rien mais le reste n'est pas si mal.

Merci à Gilles pour les italiques

A Doryan pour les vers rouge et rassurant

A Pauline pour la fête qui était une franche réussite

Jeudi 27 juillet 2006 à 10:34

Voila un petit poémes ancien qui ne vaut pas grand choses mais c'est histoire de faire patienter ceu qui passeraient vite fait . Je pense commencé par remettre des anciens textes de mon derniers blog, des textes que j'aime encore. Ce sera pas de l'inédit mais au moin ça ressemblera à quelque-chose 

La tête dans les nuages de la virtuosité

L'envie de serrer le ciel, mordre la terre

Jouer avec des cafards multicolores

Goûter à un fruit, le recracher aigris

Manger dans le plafond les vers de terre

Voir le monde qui s'endort

Autour de moi un battement puis cesse la vie

Les garçons approchent les filles sans les aimer

 

Translucide la nuit ment sous les colombages

S'agrippant à la potence il danse

Renifler la poussière en s'étouffant

Se perdre une autre manière de ne plus vivre

Chercher sous les robes au jeune âge

Marchant  autour de la masse en transe

Sentir autour de moi une main caressant

Mes paupières me réveillant encore une fois ivre

 

La tour se dresse et si le bas blesse

Mes instincts pour me tenir en laisse

Je mordrais les mains de quiconque

S'agrippe à la frange qui tombe

De ta tête, mandragore, petite bête.

Je t'adore. Oh maudite fille de fête

 

La rumeur se meurt en complainte sans odeur

Elle gronde cette rumeur en mon cœur

Le roulé-boulé de tes deux mains écrasant

un parapluie dans la rosée du matin chantant

 

Souffle, souffle, sur un petit carreau plein de barreaux

La langue étrangère de tes lèvres sent le roseau

 

Ton jardin secret que je cherche à profaner .

Mercredi 26 juillet 2006 à 14:57

Bien le bonjour, bonsoir, Bonne nuit bon réveil

Salutations et autres courbettes

Je commence mais j'ai pas encore fini alors on va se dire aurevoir jusqu'aux prochains articles avec ...

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