Un de plus un de moins. Un texte qui vaut moins que rien. Qui à dit que les mots soulevé des montagnes qu'ils étaient plus fort que tout. Je vois des mots pour rien tous les jour utilisé par les chiens. Et on continue de massacrer, toujours un champ de bataille à nettoyer. On entasse les cadavres ça fait mauvais genre. On passe à la télé, mais « on » ne pourra pas en profiter, « on » est mort, c'est les cadavres qu'ils sont venus filmer. L'excroissance menant à la boucherie pendant que monsieur VIP danse, il ne s'inquiète pas, le bénéfice grimpe, la guerre paye bien pour ceux qui n'on pas de sang sur les mains. Et ne crois pas que leur conscience soit atteinte. Ils ont l'esprit conformé à leur horreur.
Faut-il massacrer une population entière pour tenter d'éclairer les survivant ? La guerre à but pédagogique, il me semble qu'il y a une mouche dans le potage. Pourtant le concept rencontre un franc succès, mais les résultat ne semble pas au rendez-vous. Certainement la faute à la crise économique qui nous fou tous dedans, comme dirait l'ancien.
D'ailleurs l'ancien ils s'en fous tant qu'on le fait pas chier chez lui, il s'attristera cinq minute devant sa télé, mais après ?
On n'y peut rien il paraît.
Il paraît…
Mais moi ça commence à me gaver. Et puis cette maniére de présenter les faits. Comment savoir ou prendre les informations? Comment savoir que l'on ne va pas essayer de nous rouler un fois de plus. Comment se fait-il que même les hommes de plumes ne soit plus honnéte mais cupide à souhait?
Comment peut-on écrire par envies de profits?
Les poétes des temps passé on brisé leurs cercueils à force de se retourner dans leur tombe et je les comprend.
La pourriture de leur chair n'est rien leur mots sont encore la pour que nous créions les notres les poête sont des batisseurs de passion. Les éveillé de leur tombe nous réveillerons.
Mais j'ai peur. Imaginé, si demain on m'interdisait d'écrire à moi et à tout autre personne ayant des choses à dire, à tous ces fous à la plume vagabonde. La censure est toujours présente, prenez garde car aujourd'hui certain s'attelles, entre deux guerre, à interdire au mots de vivre en tout liberté
J'ai peur pour demain, et aprés demain, et......