cynike
Les choses de mains
Mercredi 22 novembre 2006 à 18:40
Je jure par mon humanité
Je jure par les idées qui mon faites
Je jure par la patris dans laquelle je vis
Ainsi je promet ma volonté inflexible, Les amis peuvent avoir peur, un homme seul ne peux se faire l'echo de ma terreur dans mon coeur. Mes idéaux je les placerais hauts et sur le perchoir de la voix de l'humanité je me glisserais si il le faut afin de parlé aux nom de l'humain que je suis.
Si s'entretenir entre citoyen aujourd'hui si confronté des idée, si la parole n'a plus sa place je jure d'au moins essayer de la lui rendre. Je suis citoyen, je me revendique ainsi. Marchons de vive voix en un concert tonitruant. Le dialogue doit rester ouvert surtout en ces temps ou l'orgueil de certains et la perfidie d'autres, se font fies des valeur qui portérent notre révolution de 1789. Ainsi je n'appel qu'à une chose la prise consciente de notre parole. Si nous ne le faisons pas, si nous nous taisons, peut-être que nous nous apercevrons, plus tard, au moment ou n'en pouvant plus, nous voudrion enfin le faire, que nous ne le pouvons plus. Citoyen contrairement à ce que certain voudrais vous faire croire, le pays ne se dirigeras pas sans votre pensé ni votre parole qui ne s'exprime jamais mieux que dans l'urne pour la faire entendre de nos dirigeant ou dans le bistrot café bar lieux si il en est un ou la voix du peuple raisonne, pour la faire entendre notre voix et écouter celle de notre voisin, quel qu'il soit
Mercredi 22 novembre 2006 à 14:13
Si j'ai crus aux chants des sirénes
Si j'ai crus au faveur des plaines
Si j'ai crus au pouvoir des plaintes
Si j'ai crus à l'oublis dans la peinte
Si j'ai crus briser le miroir
Si j'ai crus aux instances de l'histoire
Si j'ai crus aux sourires félin
Si j'ai crus à l'avenir dans mes mains
Si j'ai crus à la puissance des mots
Si j'ai crus pouvoirs les dire tout haut
Si j'ai crus à ma place sur le perchoir
Si j'ai crus à toutes ces histoires
Si j'ai crus voir la véritée
Si j'ai crus à ma légitimité
Si j'ai crus mordre à pleine dents la vie
Si j'ai crus qu'en retour j'aimerais la nuit
Si j'ai crus que toute était possible
Si j'ai crus la vie invincible
Si j'ai crus à l'amour de mes pairs
Si j'ai crus que rien ne se perd
Si j'ai crus au grand droits des poètes
Si j'ai crus au chant des alouettes
Si j'ai crus monter les plus grandes scènes
Si j'ai crus que la salle était pleine
C'est que j'ai, j'avais, j'aurais, toujours et encore ce droit inaliénable que tout humains ne doit qu'a sa naissance seul, le droit de croire
Même si parfois son fréres se perd, le droit d'espoir