cynike

Les choses de mains

Lundi 31 juillet 2006 à 11:09

Ce matin des enfants sont mort.
Les adultes se balance des bombes les enfants payent.
Est-ce que c'est normal?
Pour un dieu qui n'existe que dans le coeur des hommes, a-t-on le droit de supprimer des vies à peine entamés.
Tant de rire éteints sous le feu de la folie. Que les soldats créve c'est leur métier, pourquoi pas aprés tout. ce n'est qu'une question de point de vue, mais des enfants...
Ici chez moi il fait beau, un été sans pareil, pourtant le ciel azur a un gout de sang
.

Lundi 31 juillet 2006 à 9:23

Normalement ce devrais être un rythme, régulier, monotone, éternel. Chaque heure étant composé de soixante minutes, elles même composé pour chacune de soixante autre secondes.
Seulement, parfois le temps passe trés vite devant vous et on a l'impression d'étre une vache regardant passé un TGV. le battement le changement de rythme. Il me semble impossible alors qu'une seconde aie la même valeur à ce moment là. La théorie de la relativité selon Einstein? En trés simplifié alors. Et puis il n'y a pas besion de s'intéresser à cette théorie pour savoir que ça existe. Tant de moment ou on peut avoir l'impression de piétiner sur place en attendant qu'il passe et tant d'autre ou il passe si vite qu'on à l'impression de l'avoir loupé au vol.

C'est désagréable, alors je m'étonne plus que certain cherche à le tuer avec des activitées plus ennuyeuses les unes des autres.

Samedi 29 juillet 2006 à 12:34

Un ancien texte de mon blog, mais je l'ai écrit juste avant de le supprimer, alors voila pour vous. Ca permet d'inaugurer la rubrique Politique sans prétentions

Liberté

 

 

Un cri cour celui d'un ami. Comment rester insensible à cet appel ? L'éveillé m'a réveillé.

Le doux rêve d'une vie entière.

Ami tu n'es pas seul.

Liberté, cette mélodie qui sonne jours après jours, l'envie de se voir transporté par tant de simplicité si dure à acquérir.

Ami nous ne sommes pas seuls

La route est longue le bitume brûle nos pieds, nos sourires se transforment en grimace.

Pourtant

Amis nous sommes légion 

Armé de paix notre courage sera mis à rudes épreuves, nos passions passeront souvent pour des illusions. Notre sagesse folle brisera les murs des endormis, ceux que notre route croisera ne pourront pas nous croire, ne voudrons peut-être pas.

Amis nous sommes une voix

Notre forme multicolore passera pour mirage assourdissant, les pas de notre nature vive défieront celle morte de trop de temps perdus à attendre.

Amis nous agirons

Avec ou sans permissions

Amis nous vivrons pleinement dans l'éternité ou pour quelque temps.

Vivre libre n'es pas un rêve, vivre libre est un combat sans trêves, vivre libre est une manière d'affirmer que tous reste à faire, car les anciens en ont trop fait pour que l'on s'arrête sans essayer.

Vendredi 28 juillet 2006 à 3:20

La faute à  la bouteille portant ton nom

les femmes ou les regrets sont le cancer de l'âme

portant mille voluptés dans une ivresse feinte ou avéré

je mords joyeusement la queue des serpantinante pensé d'une nuit d'été

respire

Alors que l'arbre de mes pensées fleuri de mille effacement doré

une fille danse sur les nuages de rosé

s'appuyer sur le récit de l' amoniac

j'ai crus voir un reflet de nuages miroitant la beauté

mangeur de funambules cajoleur

j'ai vus. non. je n'ai qu'entraperçu

respirer, difficilement un air

plein de battement d'ailes de libellules frêle

je te boufferais pour te cracher sur une dalle de pierre tacheté de ton sang enivrant

meurs

Ingrâte dit-on

Tant pis

Tu dors et tout est fini

Tu dors et tout s'efface c'est horrible

De l'autre côté de cette porte de sang

Ingrâte

cette pensée qui pense encore à toi

juste toi et les mots qui tournent autour

Tout était simple

Ou presque

Il suffisait d'entrer

Passer cette porte ton nom était inscrit

Dessus

Bonheur volatile

Je meurs et tu dors

Encore

Encore je me perds les pieds brûlés

Sur ta voix ton visage

Tu seras partie

Avant qu'on se lève

Avant qu'on s'élève

Avant que nos lèvres

Aient le temps de s'écrire

Que répondre à tout ça?

Rien

Lis le juste

Libellule d'un soir d'été

Libellule d'un printemps

Malade comme un chien

Errant malgré lui

Trois paysages

Lui moi et lui

Ils se perdent sous les étoiles

Sous lesquelles tu es

A plus tard

Juste une ligne blanche

blanc des os qui se désagrégent

dans la glaise de mes pensées

trouble s'alourdis l'air de ma loudeur

à t'écrire à te parler

rien ne t'empéche de vivre

alors que mes pensées s'innonde

j'aspire à voir le temps d'une hécatombe

tombe tombe ma phrase au milieu du ruisseaux

perdre ses mots au milieu de ces croix

d'honneur mettre un point pour ne pas avoir peur

toi

s'arracher le coeur

l'écarlate parsemme le sol

enfin la fin l'oublis

la nuit

j'oublis car finir

c'est une façon

de te voir en désir fin de la mire enscenceuse

je creuse je creuse

je m'use dans une écluse mise entre deux murs

souris mon démon passera entre deux bagatelles

Mais, même a la fin des temps, les gens survivent a toi.

Pourquoi? Comment?

Dieu seul le sait.

je crois qu'il est temps de mettre un terme à cette mascarade d'ivresse, même si les maux sont trop nombreux pour sortir de l'infini il y-a autre chose qui cour pour ne pas s'apercevoir que le temps passe

J'ai supprimé la fin, elle ne servais à rien mais le reste n'est pas si mal.

Merci à Gilles pour les italiques

A Doryan pour les vers rouge et rassurant

A Pauline pour la fête qui était une franche réussite

Jeudi 27 juillet 2006 à 10:34

Voila un petit poémes ancien qui ne vaut pas grand choses mais c'est histoire de faire patienter ceu qui passeraient vite fait . Je pense commencé par remettre des anciens textes de mon derniers blog, des textes que j'aime encore. Ce sera pas de l'inédit mais au moin ça ressemblera à quelque-chose 

La tête dans les nuages de la virtuosité

L'envie de serrer le ciel, mordre la terre

Jouer avec des cafards multicolores

Goûter à un fruit, le recracher aigris

Manger dans le plafond les vers de terre

Voir le monde qui s'endort

Autour de moi un battement puis cesse la vie

Les garçons approchent les filles sans les aimer

 

Translucide la nuit ment sous les colombages

S'agrippant à la potence il danse

Renifler la poussière en s'étouffant

Se perdre une autre manière de ne plus vivre

Chercher sous les robes au jeune âge

Marchant  autour de la masse en transe

Sentir autour de moi une main caressant

Mes paupières me réveillant encore une fois ivre

 

La tour se dresse et si le bas blesse

Mes instincts pour me tenir en laisse

Je mordrais les mains de quiconque

S'agrippe à la frange qui tombe

De ta tête, mandragore, petite bête.

Je t'adore. Oh maudite fille de fête

 

La rumeur se meurt en complainte sans odeur

Elle gronde cette rumeur en mon cœur

Le roulé-boulé de tes deux mains écrasant

un parapluie dans la rosée du matin chantant

 

Souffle, souffle, sur un petit carreau plein de barreaux

La langue étrangère de tes lèvres sent le roseau

 

Ton jardin secret que je cherche à profaner .

Mercredi 26 juillet 2006 à 14:57

Bien le bonjour, bonsoir, Bonne nuit bon réveil

Salutations et autres courbettes

Je commence mais j'ai pas encore fini alors on va se dire aurevoir jusqu'aux prochains articles avec ...

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