Voila un petit poémes ancien qui ne vaut pas grand choses mais c'est histoire de faire patienter ceu qui passeraient vite fait . Je pense commencé par remettre des anciens textes de mon derniers blog, des textes que j'aime encore. Ce sera pas de l'inédit mais au moin ça ressemblera à quelque-chose
La tête dans les nuages de la virtuosité
L'envie de serrer le ciel, mordre la terre
Jouer avec des cafards multicolores
Goûter à un fruit, le recracher aigris
Manger dans le plafond les vers de terre
Voir le monde qui s'endort
Autour de moi un battement puis cesse la vie
Les garçons approchent les filles sans les aimer
Translucide la nuit ment sous les colombages
S'agrippant à la potence il danse
Renifler la poussière en s'étouffant
Se perdre une autre manière de ne plus vivre
Chercher sous les robes au jeune âge
Marchant autour de la masse en transe
Sentir autour de moi une main caressant
Mes paupières me réveillant encore une fois ivre
La tour se dresse et si le bas blesse
Mes instincts pour me tenir en laisse
Je mordrais les mains de quiconque
S'agrippe à la frange qui tombe
De ta tête, mandragore, petite bête.
Je t'adore. Oh maudite fille de fête
La rumeur se meurt en complainte sans odeur
Elle gronde cette rumeur en mon cœur
Le roulé-boulé de tes deux mains écrasant
un parapluie dans la rosée du matin chantant
Souffle, souffle, sur un petit carreau plein de barreaux
La langue étrangère de tes lèvres sent le roseau
Ton jardin secret que je cherche à profaner .