cynike

Les choses de mains

Mercredi 31 octobre 2007 à 16:26

Il N'y a plus rien a prendre.

Jeté par dessus l'entité d'expérience. Le dénuement corrosif, total, comme seul dénouement ?

Frapper dans les cordes de l'arc de cupidon, à coup de ciseaux. Viser juste, trop juste peut-être pour que ce soit tout à fait honnête. Et pourtant, autant pour voir en voilà bien pour moi assez à dire. Faire fit de nos fondements, pilier de pattes a modelé, bâtiments en pattes de sel. Effondré, le grand crash. Ainsi que cela soit fait. Pour le pire, celui-là même qui seul vous a anéantis. Et même, se faire ennemis de soi. Car ainsi le paysage défait de tous, il ne reste plus rien. Se défaire de ce que le temps et la vie vous ont greffé. Mis au monde, le tourbillon nous emporte, sans pitié, ni sagesse. Incapable de comprendre et d'attester ce qui passe sur notre corps. Je ne parle pas du temps.

Qu' y avait-il au départ ? Comment le savoir si ce n'est par le passage en ce lieu, cet en soi ou, à bien regarder, il n'y avait rien au départ. Alors voulus ou non voulus explorer ce moment ou il n'y aura rien pour nous voir en vie.

Rien, qu'une chose peut-être

Au fond de soi, dans le vide du silence de la pensée. Quand plus rien ne remue apparemment, quand le creux de notre ventre a cessé de remuer, alors faire attention car quelque-chose bouge que l'on avait naturellement oublié, quelque-chose qui existait, et on le savait, mais pour autant on ne lui prêtait plus attention. Ça se lève nous soulève pour retomber. Encore et encore, et sitôt qu'on en a pris conscience et que ça aussi on veut, par sa simple volonté de penser, le stopper et bien on en voit toutes l'impossibilité. On peut tenter, mais ralentir, ou entre coupé, ça ne peut cesser, ça reprend le dessus inexorablement. On respire. Remplis vidé, Gonfle et désenfle. Et puis suit directement cette autre mouvement répétitif, 1,2 ..1,2  tambourin binaire, pompes à retardement, sans rythmique que celle du sang, de toute l'alchimie des efforts de votre corps et, dans l'inaction, le seul rythme de votre respiration. En vous et quelque part sans vous si vous le laissez couler. Prendre en conscience, cette seul et unique force, continue, inconditionnel. Jusqu'à la fin, après tout, ce sera là, présent.

Alors il est permis de voir de revoir et d'intégrer, ce qu'il nous prend de nous greffer, avec dans la tête le rythme changeant alternatif de notre base, unique et universel. Pris par la conscience et non plus mis, mais inclus au monde.

Dimanche 28 octobre 2007 à 13:37

Dans les ténébres
 J'ai contre plongé
 J'ai du mal viser
ou bien mal cadrer
J'ai pourtant le bonheur dans l'objectif
J'ai brulé tous les négatifs.

Malgrés les mises au points ... Je suis flou.

Le temps des rêves
 Est passé comme un bolide
 Dans l'instantané d'un polaroïd
 J'ai l'impression d'une vie de cliché
Mettant mon coeur surexposé.

Malgrés les mises au points, je suis flou...

 Pauline Croze.


Faire le ménage chez soit comme dans sa tête, ou l'inverse. Et pouvoir peut-être y voir claire.
Prendre une décision, s'y tenir, moins facile que ce qu'il n'y parais
Mais il faut peut-être mieux ça, Quand on n'a pas la raison commune pour soi.

Lundi 22 octobre 2007 à 7:53

Dirty tree voili ma mégalomanie espiégle vas pouvoir revenir mentir de toutes vos vérité a nouveaux dans mon lieu de vie car ça y est je suis internetement opé'. Prés a interné mes envies d'écriture sur la toile afin quelles y déambulent, sa va chémar !!!!

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