Si j'ai crus aux chants des sirénes
Si j'ai crus au faveur des plaines
Si j'ai crus au pouvoir des plaintes
Si j'ai crus à l'oublis dans la peinte
Si j'ai crus briser le miroir
Si j'ai crus aux instances de l'histoire
Si j'ai crus aux sourires félin
Si j'ai crus à l'avenir dans mes mains
Si j'ai crus à la puissance des mots
Si j'ai crus pouvoirs les dire tout haut
Si j'ai crus à ma place sur le perchoir
Si j'ai crus à toutes ces histoires
Si j'ai crus voir la véritée
Si j'ai crus à ma légitimité
Si j'ai crus mordre à pleine dents la vie
Si j'ai crus qu'en retour j'aimerais la nuit
Si j'ai crus que toute était possible
Si j'ai crus la vie invincible
Si j'ai crus à l'amour de mes pairs
Si j'ai crus que rien ne se perd
Si j'ai crus au grand droits des poètes
Si j'ai crus au chant des alouettes
Si j'ai crus monter les plus grandes scènes
Si j'ai crus que la salle était pleine
C'est que j'ai, j'avais, j'aurais, toujours et encore ce droit inaliénable que tout humains ne doit qu'a sa naissance seul, le droit de croire
Même si parfois son fréres se perd, le droit d'espoir