cynike

Les choses de mains

Vendredi 9 mars 2007 à 22:15

Un homme chante dans un grand bar. Autour de lui les gens parlent crient rigolent hurlent, de plaisir ou de douleur. Il voit les ivrognes et alors la chanson qu'il chantait prend un sens. Il voit après ça, tout les amoureux, où ceux qui sont restés assis seul après qu'Elle soit partis. Ainsi des milliers de vies défilent devant ces yeux. Il n'est pas venus pour qu'on le regarde, pas ici, non. Il est venus pour observer en voulant être sur que personne ne le remarque. Là sous les accord qu'il gratouille il s'aperçoit que ces textes ne possèdent pas tout ce qu'il désirerait y mettre.

 Une fille boit assise au bar, en écoutant sans trop le montrer ce mauvais chanteur. Qui gratouille des aires sans trop croire à ce qu'il chante. Elle le regarde et l'attend tout les soirs et ce con, qu'elle pense, n'est même pas foutu de s'en apercevoir. Elle a un peu trop bu et à côté y'a ce gros lourd qui lui bave sur le décolleté depuis une heure en lui payant un coup parce que il veut montrer que pour boire ça il a de la thune. Mais elle s'en fout tout ce qu'elle entend dans se brouhaha c'est la voix de ce chanteur que malgré tout elle aime bien et le visage de ce parolier qu'elle voudrait embrasser.

Il connaît les habitués depuis le temps qu'il les voit s'affaler

Elle largue le lourdaud c'est un refrain qu'elle connaît.

Y'en a une qu'il a bien remarqué.

Et celui là qui a fini de chanter.

A la dérobé, ses yeux…

Il lui a volé un regard.

Pas la première fois….

Que ça ne s'arrête pas..

 

Un homme chante dans un grand bar. Autour de lui les gens rigolent parlent et crient de joie ou de douleur. Il n'en voit qu'une qui se fait payer des coup par des gros lourd. Il ne voit qu'elle qui le regarde ainsi que l'on regarde un dieu. Lui, chante la muse qui lui apporte sa tendresse, ils aiment et leur yeux se caressent.

Jeudi 8 mars 2007 à 18:35

Voili Voilou ce qui pourrait être une pochette pour une possible et hypothétique (pour cause de non existence flagrante) pochette d'album de Godo ( En gros j'ai fait un petit montage et je vous le soumet comme ça parceque j'ai envie et que je fait encore ce que je veut sur mon blog quoi MERDE enfin!!!! Allez vous faire foutre voila je me casse a boston et je deviens punk.... La faute a la société... AH oui l'image TADAaaaaa.




Mardi 6 mars 2007 à 18:38

http://video.google.fr/videoplay?docid=-2668449582990321930

Voila le liens vers mon premier AMV qui ce base sur une musique de Box Car Racer: Letter to god.

Et sur des images du seigneur des anneaux Les deux tours... Voila

Bon la musique fait pas celtique mais c'est surtout le rapport des paroles avec l'image que j'ai voulu retranscrir même si la plupart du temps c'est hyper brutal les transitions bref a vous de voir et surtout laissez tout vos critique

Mercredi 28 février 2007 à 19:41

Tu les regardes, tu te marre, mais vraiment. Là tu peux te marrer vraiment, un rire que tu entends rarement.

Alors tu regardes tout ce qu'elles te disent, tout ce qu'elles peuvent raconter. Tu souris, tu admires, un rien de leur part t'enchantes et t'emménes dans un autre monde.

Mais soudain voila on en à fait le tour, toutes sont passées et reparties. Un court temps entre l'éphèmére et l'éternité s'est écoulé. Devant vos yeux les images restent un moment,  puis s'etompent car elles font un peu mal. Elles serrent là, dans la poitrine, fort, si fort qu'on veux les chasser à tous jamais. Se proteger fermer sont coeur a tous ce dont elles sont capable de nous faire. Car quand elles sont partis elle n'ont laissé qu'un corps vide.
Ou ne perce que la mélancolie et la nostalgie de ces jours passés...

Putain de Photos. On restera comme ça tout le temps hein?
- Je pense pas. Mais ça veut pas dire que ce sera moins bien...
-Tu pense?
- j'en sait rien en fait...

Jeudi 15 février 2007 à 17:22

Je n'ai rien d'exceptionnel
Les philosophes auront beau dire, moi être humain d'un age peu avancé.

Je n'ai rien d'exceptionnel

Partout je regarde, rien ne me différencie.

J'ai un code génétique unique fruit des accouplements de mes aïeuls

Et pourtant.

Tout ça ne me rend pas exceptionnel.

Une exception n'existe que parce que nous la voyons ainsi.

Alors la voilà la différence entre l'unique et l'exceptionnel ?

Chaque humain est unique mais là, moi, avec cette unicité, je ne suis pas exceptionnel.

La chute de ça ?

La mienne

Et la votre si vous me croyez.

Car non, vous non plus, vous n'avez rien d'exceptionnel… 

"I laugh until my head comes of" 

Samedi 27 janvier 2007 à 15:23

Deux textes qui viennent de La ville Française à ce qui parait. Enfin moi ce que j'en dit? Ben ça:

Certe oui:

Certe oui rendons toi cela
Tes grands aires
Ta beauté monumental
Tes femmes toutes ces passantes
Et le spleen des grands homme
qui t'on foulé de leurs pieds.

Allons oui
Je l'avoue
Ta grandeur
Ton univers et ton histoire
Tous ces liens que la nostalgie berce
M'ont touchés j'aurais aimé y être

Seulement
Rends toi bien compte
Tu pus
Toutes tes perversion doré
Tant et tant étalé
Et si mal réparties

Regarde toi
Franchement
tousces liftings
Tant et tant de fois refais
Tout ses atours et tes détours
Cachent les bubons putrides de ton âme

Je cherche
Pourtant en toi
Tu me rebute
Ton peuple s'est perdu
Tes rues ont digéré les parisiens
Il suffit de voir la merde qui te jonche

Toi le modéle raturé
Toi la chance manqué..

Certes Paris:

Certe Paris
Je te cherche en milles nuits

Certe Paris
Tu es ma capital
Certe Paris
Tu ne m'est pas égal
Certe Paris
Ta grandeur sans pareil
Certe Paris
J'ai nagé en ton fleuve vermeil
Et si les couleurs
Les champs et les rois
Te regarde et en pleur
Se noie en émois
Je cracherais sur ton marbre
T'imiterais en grimaces
Saugrenues et salaces
Et quand dimanche sonnera
Je volerais d'entre tes bras
Tes pimbêches aux bas de soie
Qui rigole sur Pigale.
Mais moi je vois dans ton sein
La répétition de tes croquants
Tout ces gens remplis d'inteligence
Et qui s'en remplissent la panse

Mardi 16 janvier 2007 à 21:22

Je suis par terre
Je suis fatigué
Je suis improductif
Je suis mauvais
J'ecris mal
J'écris faut
Je mord dans le vide
Au vus de tout ça finalement
Je ne suis plus
Je je je je je je je je
Sans rien d'autre
Je me vautre
Je est un autre
Merci Rimbaud
Des mots mâchés remâchés
Tout prés à être régurgité
Sans conscience
Sans passion
Sans son
Sans rien sans raison
Un amas
De Jeu creux
De Je veule
à s'en bruler les doigts
Du travail bien torcher
Aux chiottes balancé
MC the light
Cour jus à cour de jus
On resserre un verre
On boit le nez en l'air
Et je reviens
Et je s'en vas
Un va et vien entre ses doigts
Plus rien ne bouge
Silence de mort
Le rideau tombe
La scène s'endort
Par la porte de derrière
Monsieur
Par la petite porte
Celle des petites histoire
Des étoiles d'un soir
La petite porte
Ou Je reviens
Mais ça on ne le voit pas bien
Je il dira rien
Je il en a pas besoin
Je s'en va et en faut frère doué
Me tient la main
Je m'égare

Dimanche 14 janvier 2007 à 11:18

Juste, quelque mots, virtuose des pavés et de l'argot. Prenons nous aux jeux de la haut. Alors partons du point de vu des faut. Si j'avais su, alors moi mon fusil et mon stylo, on serais partis de cette garde a vu. Le mental, le jugement des parole, pendant que certains on la dalle On les confinent, ils ont la galle peut-être ? Qui aurais le courage de vouloir naître là-bas, ou les coups de feu les coups bas, sont monnaie courante. La bien pensante bientôt présidente, nous fuis comme la peste. Les origines, les lieux de vie, c'est manifeste on pus, on empeste et pourtant. C'est bien chez vous dans le même pays on est pas des fous vient par ici, tu verras que nous aussi on a des mots, des farandoles, des idéaux et même si c'est pas fréquentable faudra vous mettre à table quand on vous prendra à la gorge. Vous sortir le pain de la bouche on veut de l'orge, de quoi bouffer, faut qu'on égorge qui pour entendre enfin les cris de no murmures ? la rumeur se gonfle éclate comme une claque et l'on s'étonne que la débâcle touche parfois vos portes ? Lorsqu'on écarte le voile qui masque vos yeux on peut si l'on veut se montrer au mieux. Des vieux sages entre les cages, murmurent les anciennes paroles des ages de la tolérance, la minute d'intelligence, s'il vous plait, déjà certain crient vengeance.

Interdiction proscription délation et maton de père en fiston, c'est pareil pour les haut fonctionnaire. Envies d'en vomir mes glaires quand voit tels énergumènes. Difficile de pas avoir la haine à bouffer leur conneries qui me font de la peine, des paroles a la mauvaises haleine. Arnaqueurs par centaine alors que les cités pleine, passé l'heure ou elle se plaignent, hurlent et gémissent mais continue d'engrosser les génisse. Ca pu a foison la pisse dans les discours des mauvais artistes, acheté pour l'image on en cache le carnage des mots, de la langue et je tiendrais pas la mienne quitte à nager dans la fange. Ma parole pour seul arme, parole d'homme. Celui qui verse encore des larmes enfermé dans le dôme de gaz des villes, entre phase, extase et le mortuaire des phrase. Tous frères tombé a terre, tous ceux tombé les mains en l'air. On the road to Sion man. The road to Sion man

Samedi 6 janvier 2007 à 23:53

Ben voila pris d'un sursaut je me pose une question que je califierais sommairement d'existentiel.

Dans quel monde vivrons-nous dans 30 ans ?
Ca me trote dans le crane et j'ai du mal à être optimiste... En fait je crois que j'ai peur même
Bonne nuit à tous

François Gorrissen à environ minuit je crois
.

Mercredi 3 janvier 2007 à 19:42

Voila c'est Le clip de la chanson de fin de Battle Royal par les grands Dragon Ash :

Shizuka na hibi no kaidan wo

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