cynike

Les choses de mains

Dimanche 22 octobre 2006 à 17:48



Voila je vous popose une divagation d'aprés midi.
Une divagation en tentant de faire sortir en mot le contenu de ma tête.
Encore une fois? me dirons peut-être certains
Dans le passé j'avais appelé ça "Nuit Blanche"
Entrons donc dans mon aprés-midi
La musique m'accompagnera et vous aussi peut-être qui sait faut savoir se laissez guider par les notes. Et pourquoi pas avoir la surprise simple de se voir aparaitre. Au quel banalité la quéte de soi. Manque d'originalité? Je vous emmerde! Mais gentilement soyons poli.
J'ai des sursaut de sueur froide, qui se creuse dans le bas du dos. Je voudrais permettre une ouverture plus simple à l'arriération mental de mes contemporains, mais au lieus de ça je pianote sur mon clavier en imaginant follement que ce soit un accordéon aux mélodies savoureuse. La mécanique de mon corps m'entraine dans un dédale, avec pour seul preuve automatic: les ongles rongé qui jonche le sol invisiblement. J'aime ces rythmes lanscinant qui me font dodeliner de la tête en croyant que c'est moi qui porte la musique et non pas l'inverse.
J'aimerais avoir faim de vie, mais ces derniers temps j'ai plutot soif. Un puis sans fonds de projets impossibles. Sans fin chercher l'issus à l'abrutissement quotidiens et malgrés tout, tous les soir reprendre une tranche au festin du baratin.
Mais voila changement de caps mesdames et messieur, Nino Ferrer, Chanteur, lui et sa musique me portent un sourire sur la gueule, c'est la plus agréable des baffes.
Maintenant envolons nous petit lecteurs. Soyons aviateurs dans le plus haut de notre ciel d'étoiles que la ville nous cache. En cache cache dans les nuages je frole une éphémére. Malgrés moi j'en touche une autre la premiére se vexe, que faire? J'ai tant envies de prendre la main au ciel pour boire amoureusemnt les nuages qu'il porte, que j'oublierais presque les hommes que j'aime, et Dieu sache que je les aimes plus que tout. Bien trop important pour moi à mon gouts. Mais ce fardeau n'en est pas un, j'aime les hommes de mes matins.
Alors je prendrais mes rendez-vous sur rendez-vous en me cassant les mains, car je sait bien au fond que eux me relévrons en me prenant par le bras afin de danser toute la nuit un verre à la main, une fille, la joie, dans les bras. Ainsi j'irais. Dansant le swing du nul j'avance tranquilement vers le monde. Puits extase, emphase, se perdre à l'unisson de la polyphonye poétique, une rue la vie.
Symphonise moi harmonise, la nature se penche sur un drole de dimanche et offre son spectacle aux riverains de sa mondialité. Citoyen du monde debout le coeurs ouvert à double tour de piste. Sortons de nos tricheries.
le train m'attend pour repartir dans une ville loin d'ête convaincante, mais au final je m'en contenterais, si vous acceptez le petit rendez-vous que moi et mes amis nous nous sommes fixé. Tous les deux ans retrouvons nous et même entre temps, entendu que tous nous aurons vus.
Marquons de nos histoires les bordures de ses petits trotoirs,
A nous deux Colmar!

Dimanche 22 octobre 2006 à 16:22

Y'avait dans cet air des rigolades des hommes pas clairs

Un peu malade plein de tendresse, souvent amer

Et la fumée qui éclairait les idées des fonds de verres

Des cramés claquant de la thune sans s'en faire

Des petits mecs sans lendemain trouble dans la nuit

Titubant le matin remplis ou bien noircis

Un bar sans fumée on s'y verré trop clair

C'est pas clair toute leur chasse aux sorcières

Les petits barbus les doigts pleins de mégots

Pour ceux qu'on bus arrêter de voir haut

La  danse de leur jolis clopos les  yeux mis-clos

Ecrasé la dernière pour plus en allumer une

Des funambules sans fil de rasoir, leurs maux

Ne se perdrons plus dans la fumée sous lune

Un bar sans fumée c'est une triste peinture

Qu'on ne saurait accrocher au mur !

C'est sur l'air là-bas n'est pas des plus sur

C'est pas l'ambiance saine qui traîne dans vos murs

Un café sans mégot qu'elle tristesse pensez pas ?

Un café sans bistrot qui empeste le tabac

Mais je dis pas fumer tue, ça c'est tout vu

Mais imaginez une boucherie sans porc, salut !

Un bar sans fumée, Comme fumer sans feu
Sa santeté se prend pour sainte la mère de dieu

Vendredi 20 octobre 2006 à 21:38

Ici alors que les aérosols odorent et empestent le chlorophorme qui vous endorent. J'aimerais être "à fleur de peaux fleurer la fleur être la fine fleur de ma peau"
Mais la ville pue on fait ce qu'on peu pourtant pour trouver des fleurs de beauté mais l'odorat n'est qu'au service de l'horrible odeur des rues.

Les fleurs sont gangréné
L'homme dégénéré
Pourtant
Regarde
Au détour d'une rue un point sans vus
Une vision informe.
Une ombre furtive et anodine
Un homme de tous les jours vient de porter un coup fatal aux murs de vos tours.
Sur le gris des murs qui enferme il dessine la fleur du bonheur
Le corps tremblant, Mais la main ferme.
Et ainsi cette fragile beautée
Se dresse
Envers et contre tous
Dans la ville certain espére

Dimanche 15 octobre 2006 à 12:58

Une jolie histoire

 

Alors tu voudrais que je te raconte une jolie histoire ?

Bien

Ça commence dans une fumée opaque, drôlement triste, une fumée qui s'envole doucement malmenée par le vent. Elle se perd se décompose sous un regard vide, des yeux bleus avec de drôle de couleur à l'intérieur. Aux coins de ses yeux des petites rides qui montrent les rires à profusion qu'ils ont connus, il y a quelques temps déjà.

Un geste brusque et la fumée ne s'envole plus, elle va se perdre avec ce qu'elle a, sans rien en plus.

On peut y voir un petit bonhomme sans rien de plus que ses mains qui s'agitent farouchement sur un petit bout de rien afin de l'étouffer définitivement.

Ce petit bonhomme voit-tu, est un peu triste, un peu seul, dans sa petite chambre. Il ne rêve pas, il est juste vide et creux. Ce n'est pas vraiment de ça faute, enfin je ne crois pas…

Des petits yeux ridés avec quelques gouttes de pluie salée qui tombent lentement.

Un bruit sourd, dérangeant, horriblement indésirable s'éveille dans sa petite pièce de nature morte. Nul mouvement.

Le petit bruit insiste, quelle plait ces petits bruits pleins d'effronteries.

Il se lève, avec un petit sourire aux lèvres. Un petit sourire narquois, ne t'y fie pas. Dans ses pensées il rigole de lui. Une nouvelle fumée s'élève maintenant en tout point semblables à l'autre, il vide un verre de plus, après l'avoir remplis de lait et d'alcool, un russe blanc on appelle ça.

Il n'a pas fait attention mais, dehors, il fait nuit déjà. Mais les réverbères fond de l'ombre à la lune, à l'instant pour lui ça n'a aucune importance que la poussière s'amasse dans sa chambre. Ce petit bonhomme ne prend plus soins de lui depuis longtemps et personne ne comprend bien pourquoi. En fait lui non plus ne sait pas encore, il a jamais vraiment cherché à comprendre car comme pour sa santé et ça chambre, il ne cherche pas les pourquoi.

Le petit bruit continu à marteler les murs, il se décide à aller voir ce qu'il veut. Rien. Il a écouté trente secondes, mais il ne sourit plus de lui, il raccroche sans avoir rien dit puis effectue une sorte de grimace horrible qui le défigure un peu, « Un emmerdeur de plus », il revide un verre à cette occasion.

Il se décide, à sortir de chez lui, arrive sur le pat de la porte observe la rue bruyante et délirante un instant, puis remonte chez lui, finalement il n'avait aucune envie de sortir.

En remontant, il bouscule une jeune fille aux bras chargés de courses et tous tombent par terre, il sourit un peu gêné, et décide de ne pas l'aider  « la faute à pas de chance » pense-t-il en rigolant doucement. Ce faisant, il s'étouffe et crache ses poumons un bon coup.

Une petite trace de sang par terre, le petit bonhomme semble malade et rentre chez lui en toussant comme un damné sans pouvoir s'arrêter, le petit bonhomme et un peu drôle à voir.

Ça crise passée, il s'effondre sur un divan. En bas ça hurle une voix de femme, ça semble être sous ça fenêtre, un viol, il ne se lèvera pas, pas parce qu'il a peur, mais parce qu'il ne veut plus se relever.

Vois-tu le petit bonhomme ne tient plus à la vie. Les raisons ? Il a les siennes ne t'inquiètes pas pour cela, ne cherche pas à rentrer dans sa tête.

Depuis que l'intérieur de son crâne ne voit plus la lumière, son intérieur est pire que le grenier des cauchemars de ton enfance. Il pense doucement à finir sa vie ici, mais ne bousculera pas la mort il a le temps, personne ne l'attend.

Pourtant

On toque à la porte, on chuchote « monsieur » doucement avec difficulté. On ne frappe plus on martèle la porte, il se lève, va ouvrir.

Du sang, il en à horreur ça l'écœure déjà

C'est la fille aux sacs de course, elle à du tomber dans l'escalier, mais vraiment méchamment cette fois. Ce n'est pas son problème « qu'elle aille à l'hosto merde ! »

Et là il cherche pas à comprendre des mecs arrivent en hurlant, on hurle pas chez lui, le bruit c'est pire que le sang, chacun ses priorités, elle au moins à eu la présence d'esprit de chuchoter, il l'a fait rentrer chez lui et lui demande de fermer alors que deux loubards se pointent, visage menaçant.

 Il leur demande ce qu'il ce passe et un coup lui arrive en pleine face.

 Il tousse, crache un peu de sang, pas par-terre mais dans leur gueule il n'aime pas qu'on face les choses à moitié s'il doit aller dans le gore ce soir, soit, ce sera peut-être la dernière fois.

Il lance quelque coup de poing mais ce petit bonhomme bien entamé par la vie ne tarde pas à tomber sans pouvoir se relever. Noir complet.

Il se réveille un visage horrible devant lui, ne prend pas la main qui lui est tendus et allume une cigarette. Regarde la fumée qui s'envole et se pose encore une fois sur son canapé. La porte clac.  Il ne s'était pas aperçu qu'elle était restée.

Il se lève pour se regarder un peu dans la glace. Il admire l'étendue des dégâts, et devant le spectacle horrible de ça tronche déglinguée une seul chose lui vient, un rire, sonore, énorme et drôle, un rire sincère qui résonne, qui remplis l'espace comme une caresse, un rire comme s'il n'avait jamais quitté ces murs, un rire beaux face à l'horreur du spectacle, alors qu'il se calme à cause de la quinte de toux qui suivie immanquablement, il entend au-dessus de lui un autre rire qui n'est pas le sien mais qui le fait sourire, amusé. Jamais il n'avait entendu un seul son venir de ce plafond. Il se regarde encore une fois dans la glace.

Il sourit et ça lui fait une tête si laide qu'il se décide sur un coup de tête.

« Vous descendez boire un verre ?

-Vous avez  du russe blanc ?

-Je n'ai que ça

-Alors d'accord »

 

Et depuis des rires raisonnent, on ne sait jamais bien pourquoi, à travers les murs de cet immeuble un peu trop gris, un peu trop laid, pour ne pas en rire un minimum.

Le petit bonhomme boit toujours du russe blanc, fume toujours autant, et n'attend plus la mort c'est la mort qui l'attend maintenant, chacun son tours comme dirait l'autre…

Samedi 7 octobre 2006 à 18:40

Des fois, j'arrive à croire que je ne suis plus homme.
Merci les gens! Les badauds! Un chapeau retourné devant un jeune homme bien habillé, et vous croyez forcément qu'il vous demande quelquechose, mais rien vous ne donnez.
Vos regards ne sont pas miens. Ainsi ils me parlent mais je ne les entends pas .
Hors de la compréhension de votre monde, pour quelques secondes, minutes si précieuses, un instant hors de vous à travers moi, un instant sans vous.
Un
STOP!   Retentissant, vous figeant en une peinture abstraite.
Sur le temps de vos pas, les couple militaires. Un pigeon vous filant au coin de la rue.
Une multiplication des tableaux de votre non-vus.
Ceux don vous dites qu'ils sont " un peu en retard", ceux qu'on voit errer sans but précis, eux vois les voyeurs, moi.
Et les petits pédale, se casse la gueule sur le carrelage mouillé d'un dimanche aprés-midi raté. Les sales gosses que j'étais.

J'invite la psuké à la fermer, et celle-ci semble bien décidé à m'emmerder. Et cela toute ma vie
Les femmes ne sont plus des demoiselles à respecté, mais des pimbéches prude aux allures de fille de joie, trop cruche pour ne pas se laisser avoir par la gente masculine à la perversion inébranlable. La libido est devenus incontrolable et les étalons castras se tire la bourre avec les mammouths poussifs mais soi disant emplis d'une sagesse isus d'année d'expériene. Laquelle? Allez savoir, ça doit surement être une histoire d'apauvrissement du code génétique. Ainsi entre deux enrichissement à l'uranium, on à le temps de s'apauvrir sur notre foie en nous-même.
Les cancers de ceux-ci nous ramenerons alors peut-être sur Terre.

Un couple passe:
"Je pense que ça sera un bon gros bébé.
-La femme: Mais je ne suis pas enceinte
-Sans nul doute mais votre maris semble au dernier mois"

J'aurais pus le dire ainsi.....

Samedi 23 septembre 2006 à 15:39

Ballade

 

Sur l'asphalte de Paname une fille se gratte les doigts.

Parsemé d'envies folles celle-ci aguiche les hommes et rigole

Le malte des bières coulant dans les bars entre deux trottoirs

Le paysage désolant d'une ville qui manque d'épaule

S'extrayant de quelques toiles informatiques une espèce rare

Se voit contrainte de bossé tard le soir sur un trottoir,

Le miroir ce matin s'est levé sur mon visage, souriant à une fille sage

Le train de ses reins que j'use, de mes mains, un peu trop serein.

Pure perte de sexe j'examine cette furie qui s'excite sur mon lit.

La bandaison est difficile, la pornographie m'aide à tendre le fil.

Sur un terrain plat un enfant joue de ses doigts,
triste spectacle,

Sur un gros tas qui à sut user de tact pour que le tactile le fasse jouir

Alors que les murs suintent la puanteur des clébards Je vois un volet s'ouvrir

Sur une vieille qui aboie par le rebord, elle se tord prête à mordre, à accuser à tord

Le voisin déjà mort. Les cadors des menottes ne dénotent pas, ouvrent la porte

Découvre le visage gris d'un age infini, étendu devant son lit.

Le gamin est repartis avec le bonbon promis et s'endormira calmement dans son lit

C'est ainsi que j'examine le visage sans soucis de la naïveté exploité par l'Ancien

Du Baratin

Vendredi 1er septembre 2006 à 23:12

T'es l'ami
Qui s'en vat-en guerre
L'ami
Dans sa tête désepére
L'ami
Plutot vas prendre l'air
L'ami
Jette en l'air
Quelques mots puis se retourne
Regarde ces pas
L'ami crache qu'il reviendra
Ou pas
L'ami
S'en est allé un matin
L'ami
Des allures de croc mitaine dans les Mains
L'ami
Plus ou moins
L'ami
Tu restera le mien
L'ami
Si un jour tu reviens
L'ami
Avec ta tête de malin
L'ami
Tu resteras le miens
D'Ami
même si pour toi je n'en suis pas un
Un bonne Ami
J'en restes un

Jeudi 31 août 2006 à 14:38

Je n'y arrive pas. Peut –être de l'écrire, ça m'aiderais à réussir. Ecrire que je n'arrive pas à t'écrire. Les premiers mots ne te sont pas dédiés. Installer la polyphonie de mes sentiments afin de t'écrire quelques mots.

Je veux être à fleur de mots, pour notre prochaine rencontre, afin d'effleurer la feuille de mes pensé ou j'espère te dessiner l'espace d'une éternité. Te savoir imprimer dans ma peau et cessez de primer l'oubli dans la toute puissance. Sentir l'essence de ta danse qui dans mon cerveau ne trouve nul arrêt après l'élancement de ma gorge à ton approche sur la berge des gorges de ta poitrine. J'aimerais dégorger mon silence de quelques paroles moins rances. Pour doucement t'attendre d'un  bord à l'autre de l'espérance. Doucement te sentir muette, j'imagine que tu me suis me rejoins, alors que tu m'as déjà atteint. Attendre que tu apparaisses, en mes bras, autrement que par un soir d'ivresse. Attendre un signe de toi signé pour moi. Désordre, dans l'ornement de ton sourire. Une journée de merde pour ton départ. Finir le prochain soir avant qu'il n'arrive. Arrivant plein d'entrain sans un mot dans les poches ni un sou dans les mains je n'ai pas voulu te forcer la main et pourtant j'en ai la perpétuelle impression. Imprimer quelques mots et te les donner ne serait pas sage. Ma Sarah Bernhardt, empiétant mes pages. Le sourire m'a fui et la peste se mêle de ma vie car je n'attends plus de tendresse alors que j'espère comme un enfant, dans mon lit bercé de monstres, que tu viennes un instant me chanter une petite chanson. Tu m'invite à la félicité des plus grands dieux mais il faut redescendre étage par étage. Tomber de plus en plus haut, sans les escaliers de facilité prés à me rattraper. J'attends en bas, tu es en haut, j'attendrai là, j'attendrais las, de voir les autres.

J'aimerais t'écrire un poème, une façon plus belle de dire tout ce qui se tait face à toi. Car même autour d'un café je ne crois pas que ça me serait enfin possible, quoi que je n'aie pas encore eu droit à un essai, non pas à cause de toi, peut-être à cause de ma lâcheté ou des évènement qui s'enfile mal, sur une tapisserie pleine de rature. J'aimerais me raccommoder à toi, mais je sais que tu es accommodé à ce genre de discours. Alors j'y couperais cours. Sans concession il me semble évident au fond que ce mot s'impose à moi maintenant. Je… Je t'… Je te le dirais à notre prochaine rencontre… peut-être.

J'ai des airs de terres dans les yeux, rien que de l'imaginer

J'ai des airs de terres dans les yeux, rien que de t'imaginer

J'ai des airs d'hivers dans les yeux

Mardi 22 août 2006 à 11:48

Je fais des cendriers, à défaut de me laver les pieds
Je regarde tristement, ceux des autres bien chaussés
Je suis le Punk dont on rigole en marchant
Je suis l'anonyme qui vous demande 10 centimes
En échange de mon artisanat plutot bancal
Mon visage défoncé rit de vos sourirs forcé
Je ne suis ni sage ni forcené, j'aime juste me marrer
Huit ans que je fais des cendriers en canettes incomplétes
Avec ou sans Alcool aux choix mais personne n'achéte
Alors j'oublis les visages, j'oublis d'être sage
Je ne supporte plus le bel et maudit étala
ge
De la folie ou je bois et je léve mon poing
Je le léve et je suis pas allé bien loin
Mais là je peux plus bouger, rond comme un coin
Je roulerais seulement jusqu'au caniveau
Coucher, sur le dos, la tête vers le haut
Pas un chien pour me pleurer
Je suis plus un homme pour vous...
Mais je sais trés bien que pour moi
C'est vous qu'êtes pas humain
Regardez moi bien dans les yeux
Et voyez ce que j'y ai planqué
Des sourires, des pleurs, et surtout, surtout, toutes votre horreur

Ce que je vois dans ces yeux: un puits de tristesse
Vous donnant la gerbe
Et l'oublis pur et simple de la conservation de la vie

Mardi 8 août 2006 à 11:48

 Papa je ne t'en veux pas
Il n'y a rien contre toi
Papa les mots se mélangent
Regarde je ne suis plus un ange
Papa Noël est horrible chez toi
Avant il y avait autre chose mais quoi?
Papa ton fils n'a plus de pére
Et ses rêves ont un gout amer
Papa je ne t'idéalise plus
Et mes amis l'ont bien vus
Papa je ne veux plus venir
Le pére Noël est écrasé par le train
Papa je ne veux plus des matins
Et les soirs chez toi sont pire
Papa je t'avouerais, j'ai besoin de partir
Je ne sais pas si j'ai envie de sourir
Papa tes dollars ne sont rien
J'ai peur mais je pars au matin
Papa je crois qu'il te manque
Dérriére ton sourire tu te planque
Papa même si tu ne cache rien
Je ne te donnerais plus la main
Papa ton quai n'est plus amarable
Je ne me sent pas coupable
Papa, Aurevoir suffira
Tu reste mon pére, restons en là.

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