cynike

Les choses de mains

Lundi 23 avril 2007 à 21:20

Voila  un texte écrit presque  a chaud en tout cas nullement retravaillé depuis l'écriture comme le veux le principe du Recueil des Nuits Blanche et autres Nuits .  C'est pas glorieux mais c'est sincére!

C'était Paris sous les bombes. Je te parle de cette instant calme ou l'on se prépare avant la tempête. J'exerce dans l'ombre de ma chambre les expressions de mon appétit, proche de la rage. J'ai une envie de mordre. S'engager violemment, s'engager jusqu'au sang. Le fascisme s'installe tranquillement on lui a laisser le temps mais en dessous sous les gouttière attention la rumeur gronde. Finis de s'apitoyer. Faut voir dehors la fumée de l'herbe qui brûle dans les flammes des endormis. Se réveiller du cauchemar ? la foule acclame la fausseté s'est laissé mettre des peinture de guerre sur les yeux pour ne pas voir ce qui réellement est à abattre. L'engrenage s'est rodé les média au services de la maniacomanie répressive d'un Etat ou la démocratie à laisser la part belle au aristo des fausse vérité du parler vrai. Déshonoré dans sa chair et son sang Marianne s'est tiré une balle. Et pourtant c'était bien essayer l'idée y était certainement mais comme toujours détourné l'information a balayer l'espérance pour rendre l'écho de ce que vomi le mégaphone de la finance lobby de nos hautes instances. Comment ne pas croire comment pouvoir comprendre qu'il ne fallait rien écouter. Que pour ce faire une idée il suffisait de bien se rendre compte qu'il n'y en avait pas de nouvel que rien ne devait changer. Pourtant à défaut de réussir a influer sur notre futur économique incapable d'avouer leur impuissance face aux roi de la finance il fallait bien justifier leur présence comment ? Car leur peur est légitime, imaginé que l'on puisse s'apercevoir qu'il ne peuvent rien pour nous que tous ce qu'il sont encore capable de faire et de tenir la barre a peu prés droite pour ne pas qu'on meurt, mais pas assez haute pour que l'on vive en être humain. La barre pour surnagé mais pas pour avancer. Seulement voilà il faut bien cela pour qu'il puissent conserver leur places et privilèges. Les siéges sont confortable le quitté serait dommage. Alors comment tenir la population à cela ? A cette vie médiocre comment lui faire accepter l'idée qu'il régresse ? Informons le !

Bien sur il oubliera sur quoi il est censé avoir des opinions ou on lui aura tellement taper le cerveau de phrase bien pensée qu'il oubliera de s'en forger une.
Mais pourtant tout n'est pas si facile, tout ne tient qu'a un fil. Il n'y a qu'un pas d'ici à la vérité, tout à chacun est capable de le faire si non de dieu il n'y avait, leur petit drapeau, et leur petit fanion, trônant sur la facétie de mauvais goût. Assurer la stabilité du pays tenter de lui faire peur pour pouvoir le contrôler, qu'il se laisse faire. Seulement certains ne sont pas dupe mais qu'il s'exprime lorsque le mal sera là et on les traitera de fanatique. Il s'agira de sang sur les murs, que les coupables paye chacun leur tour.  Mais qui sont les coupables ? Le libéralisme à réussi à crée un pouvoir dictatorial et anonyme. La société. Mais il y'a complicité. Et la peur prend le partis de la déférence pour sauvegarder une paix horrible, mais qui reste une paix, une paix qui a étouffé toute possibilités d'action. Un paix qui l'a enchaînée. Car la législation plus qu'un outil de libertés dans la paix, enchaîne maintenant pour assurer sa propre libertés à elle et non pas celle de la communauté. La libertés étant un facteur trop grand de risque pour la paix car elle permet l'action, il semble que la solution choisit est celle de supprimé la libertés pour sauvegardé : La société.

Pourtant ce processus n'est pas encore aboutit, et il ne pourra jamais être totalement à l'abris de ce qui définis un humain. Cette capacité d'agir et de brisé ces chaînes par un Actes qui dans ces moment là remet la paix en question pour Mériter est atteindre la liberté.
Le Mérite de l'insurgé c'est qu'il vas jusqu'à oubliée sa recherche de la vie Paisible Pour atteindre sa libertés même si pour cela il doit la trouver dans une mort. L'insurgés est celui qui ce lève se dresse lorsqu'on touche à sa libertés à ce qui le constitue en être humain. Celui qui ouvre les yeux pour ne pas les refermer celui qui ne cède pas à la peur de perdre le matériel et qui fait passer avant tout sa qualité d'humains et le respect qu'il se doit à lui même. Celui qui ose se rebeller pour se mettre face aux système jusqu'à menacer la paix de celui-ci, jusqu'à se voir peut-être seul mais pourtant capable d'oublier son espace privée pour Agir dans un Espace publique seul endroit ou il a ce statut d'humain. Un Espace publique gangrené mais dans lequel malgré tout il se doit d'agir.

Par Gils le Mardi 29 mai 2007 à 23:07
Putain j'aime lire ça. Ca rassure, on se sent moins seul.

"J'accuse, avant qu'on ne m'accuse à mon tour et qu'on ne m'enchaine pour avoir osé hurler"
N'abandonne jamais, compagnon!

Putain mais qu'est ce qu'on attend pour foutre le feu à cette prison dorée où l'on nous laisse grâcieusement un carré de ciel bleu (ou pas) entre quatre murs de fausses valeurs construits sur des fondations depuis longtemps rongées par cette horrible maladie qu'est l'amour de l'or? Qu'est ce qu'on attend?

Prochaine liste de course, un maxipack de bière, de l'essence, des draps.

A l'attaque!
 

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